C’était à l’occasion de la signature entre lui et Mme Louise Cord directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal de l’accord de financement additionnel de 30 milliards FCFA du PATMUR.
Le ministre s’est aussi réjoui de ce que cet accord de financement additionnel porte sur le PATMUR, un projet qui tient particulièrement à cœur le gouvernement. « Le Plan Sénégal Emergent (PSE) met un accent particulier sur le développement d’infrastructures structurantes et parmi celles-ci, sur les infrastructures de transport », a avancé le ministre.
Selon lui, la transformation structurelle de l’économie afin d’accélérer la croissance, qui est l’axe I du PSE, est difficilement concevable sans l’existence d’un réseau routier capable d’assurer une mobilité parfaite des personnes et des biens sur toute l’étendue du territoire national.
« Dans le même temps, révèle M. Bâ, de nouveaux objectifs sont assignés au PATMUR, visant à améliorer sensiblement le transport et la mobilité urbaine dans la grande agglomération de Dakar ainsi que sur la Grande Côte, de Dakar à Saint-Louis.
« De façon concrète, l’objectif visé dans cette seconde vie du Projet est la réhabilitation de la route LOMPOUL-GANDIOLE, sur 69 km qui viendront compléter les 15 km de route déjà réalisés par l’Etat du Sénégal sur l’axe GANDIOLE-SAINT-LOUIS »,affirme M. Bâ. De cette manière, sera ouvert un second corridor reliant Dakar à la ville de Saint-Louis.
Selon le ministre, ce choix n’est pas fortuit car le Gouvernement souhaite résoudre trois problématiques grâce à cette infrastructure. D’abord, les usagers se verront offrir une alternative à la Route Nationale n° 2, laquelle connait par endroit de fortes congestions. « A terme, 650 000 usagers bénéficieront de conditions de mobilité fortement améliorées », estime M. Bâ.
D’autre part, il sera réalisée l’interconnexion des petites communes rurales (telles que GANDIOLE, LEONA, LOMPOUL et POTOU) avec les grands centres urbains (tels que Dakar, Thiès, Louga et Saint-Louis).
Enfin, en traversant les Grands Niayes, cette route va favoriser le désenclavement d’une zone fortement agricole. Ce qui permettra, d‘après Amadou Bâ, l’acheminement d’une production annuelle de près de 540 000 tonnes de fruits et légumes vers les marchés locaux et les points d’exportation.
El Hadj Diakhaté
Le ministre s’est aussi réjoui de ce que cet accord de financement additionnel porte sur le PATMUR, un projet qui tient particulièrement à cœur le gouvernement. « Le Plan Sénégal Emergent (PSE) met un accent particulier sur le développement d’infrastructures structurantes et parmi celles-ci, sur les infrastructures de transport », a avancé le ministre.
Selon lui, la transformation structurelle de l’économie afin d’accélérer la croissance, qui est l’axe I du PSE, est difficilement concevable sans l’existence d’un réseau routier capable d’assurer une mobilité parfaite des personnes et des biens sur toute l’étendue du territoire national.
« Dans le même temps, révèle M. Bâ, de nouveaux objectifs sont assignés au PATMUR, visant à améliorer sensiblement le transport et la mobilité urbaine dans la grande agglomération de Dakar ainsi que sur la Grande Côte, de Dakar à Saint-Louis.
« De façon concrète, l’objectif visé dans cette seconde vie du Projet est la réhabilitation de la route LOMPOUL-GANDIOLE, sur 69 km qui viendront compléter les 15 km de route déjà réalisés par l’Etat du Sénégal sur l’axe GANDIOLE-SAINT-LOUIS »,affirme M. Bâ. De cette manière, sera ouvert un second corridor reliant Dakar à la ville de Saint-Louis.
Selon le ministre, ce choix n’est pas fortuit car le Gouvernement souhaite résoudre trois problématiques grâce à cette infrastructure. D’abord, les usagers se verront offrir une alternative à la Route Nationale n° 2, laquelle connait par endroit de fortes congestions. « A terme, 650 000 usagers bénéficieront de conditions de mobilité fortement améliorées », estime M. Bâ.
D’autre part, il sera réalisée l’interconnexion des petites communes rurales (telles que GANDIOLE, LEONA, LOMPOUL et POTOU) avec les grands centres urbains (tels que Dakar, Thiès, Louga et Saint-Louis).
Enfin, en traversant les Grands Niayes, cette route va favoriser le désenclavement d’une zone fortement agricole. Ce qui permettra, d‘après Amadou Bâ, l’acheminement d’une production annuelle de près de 540 000 tonnes de fruits et légumes vers les marchés locaux et les points d’exportation.
El Hadj Diakhaté