Elle s’exprimait lors de la signature de ce financement additionnel de ce projet avec M. Amadou Bâ ministre de l’économie, des finances et du plan. Elle a ajouté que « la quasi-totalité des indicateurs de performances sont sur une tendance favorable pour l’atteinte des objectifs de développement du projet ». La réduction de la durée des trajets sur certains itinéraires dans les Grandes Niayes est ainsi estimée à 33,5% par rapport à une cible de 30%. De même, les routes en bon état dans la zone du projet ont augmenté et atteint 60% pour un objectif fixé à 54%. « A cela il faut ajouter une augmentation satisfaisante du taux de décaissement qui est passé de 23% en novembre 2013 à 73% à la mi-juillet 2015 », signale Mme Cord.
Le financement additionnel fait suite à un financement initial de 33milliards FCFA. Ce qui fait dire à Mme Cord que « cette reconnaissance de l’importance du secteur des transports routiers pour la croissance économique du Sénégal est amplement justifiée quand on sait que sa contribution dans la formation du produit intérieur brut (PIB) est en moyenne de 4% sur la période 2004-2013 ». Selon Mme Cord, le constat de la Banque mondiale au moment de la préparation du PATMUR, était que la mobilité urbaine au Sénégal et particulièrement dans la zone du Grand Dakar, constituait un défi important pour le gouvernement, les collectivités locales et la société civile en raison notamment de la croissance de la population urbaine, d’ un manque d’entretien des routes et de l’inadéquation des méthodes de gestion de la circulation.
El Hadj Diakhaté
Le financement additionnel fait suite à un financement initial de 33milliards FCFA. Ce qui fait dire à Mme Cord que « cette reconnaissance de l’importance du secteur des transports routiers pour la croissance économique du Sénégal est amplement justifiée quand on sait que sa contribution dans la formation du produit intérieur brut (PIB) est en moyenne de 4% sur la période 2004-2013 ». Selon Mme Cord, le constat de la Banque mondiale au moment de la préparation du PATMUR, était que la mobilité urbaine au Sénégal et particulièrement dans la zone du Grand Dakar, constituait un défi important pour le gouvernement, les collectivités locales et la société civile en raison notamment de la croissance de la population urbaine, d’ un manque d’entretien des routes et de l’inadéquation des méthodes de gestion de la circulation.
El Hadj Diakhaté