Cette rencontre, organisée par la Confédération africaine des Organisations professionnelles de la pêche artisanale (CAOPA), a regroupé des Femmes francophones d’Afrique de l’Ouest dans l’optique d’examiner le Guide de mise en œuvre sur l’égalité homme-femme dans la pêche artisanale. Ce document vise à aider les communautés de pêche et leurs organisations, ainsi que ceux qui conçoivent et mettent en œuvre des politiques et programmes liés à la pêche artisanale, à comprendre et à utiliser les Directives sur la pêche artisanale afin de protéger et de promouvoir les droits des femmes et des hommes.
Selon Micheline Dion Somplehi, Coordinatrice du Programme Femmes de la CAOPA, ces Directives constituent le premier document international visant à répondre aux préoccupations spécifiques de la pêche artisanale. « Aujourd’hui, nous retenons une avancée significative, car les Directives reconnaissent officiellement l’égalité homme-femme comme un élément fondamental du développement durable de la pêche artisanale », a-t-elle indiqué. De l’avis de Micheline Dion Somplehi, la vulnérabilité et la marginalisation actuelle des femmes dans le secteur de la pêche artisanale constituent un obstacle au développement du secteur, à l’amélioration de la sécurité alimentaire et du bien-être des familles et des communautés de pêche artisanale. Ces Directives, a-t-elle souligné, clarifient pour les membres des communautés de pêche artisanale africaine, leurs droits et leurs responsabilités et nécessitent des efforts pour leur mise en œuvre, en particulier de la part des gouvernements.
Madame Somplehi demeure convaincue que les femmes doivent relever le défi supplémentaire de faire reconnaître leurs activités tout au long de la chaîne de valeur des produits halieutiques, afin que leurs droits soient reconnus et qu’elles aient un accès équitable aux ressources et appuis disponibles pour le secteur.
« La participation libre et entière des femmes du secteur dans toutes les enceintes où se décide l’avenir du secteur est indispensable, que ce soit au sein des organisations professionnelles et communautaires, dans les dialogues avec l’État, les organismes de financement, etc. », a indiqué la Coordinatrice du Programme Femmes de la CAOPA qui a salué l’importance et l’utilité du Guide sur l’égalité homme femme pour la mise en œuvre des Directives. À son avis, les femmes doivent revendiquer des positions égales au sein des organisations professionnelles de pêche artisanale. Ce Guide, à l’aide d’études de cas et d’exemples tirés de la pêche artisanale à travers le monde, va, à son avis, lancer des discussions sur les choix possibles d’actions pour renforcer l’égalité femme-homme. « Il met l’accent sur les responsabilités des États, des institutions publiques, des organisations régionales et internationales, des organisations de la société civile, des collectivités et de leurs organisations pour mettre en œuvre des politiques et des plans qui aident à promouvoir l’égalité femme-homme tout en favorisant le développement durable du secteur de la pêche artisanale », a-t-elle indiqué.
A.DIEYE
Selon Micheline Dion Somplehi, Coordinatrice du Programme Femmes de la CAOPA, ces Directives constituent le premier document international visant à répondre aux préoccupations spécifiques de la pêche artisanale. « Aujourd’hui, nous retenons une avancée significative, car les Directives reconnaissent officiellement l’égalité homme-femme comme un élément fondamental du développement durable de la pêche artisanale », a-t-elle indiqué. De l’avis de Micheline Dion Somplehi, la vulnérabilité et la marginalisation actuelle des femmes dans le secteur de la pêche artisanale constituent un obstacle au développement du secteur, à l’amélioration de la sécurité alimentaire et du bien-être des familles et des communautés de pêche artisanale. Ces Directives, a-t-elle souligné, clarifient pour les membres des communautés de pêche artisanale africaine, leurs droits et leurs responsabilités et nécessitent des efforts pour leur mise en œuvre, en particulier de la part des gouvernements.
Madame Somplehi demeure convaincue que les femmes doivent relever le défi supplémentaire de faire reconnaître leurs activités tout au long de la chaîne de valeur des produits halieutiques, afin que leurs droits soient reconnus et qu’elles aient un accès équitable aux ressources et appuis disponibles pour le secteur.
« La participation libre et entière des femmes du secteur dans toutes les enceintes où se décide l’avenir du secteur est indispensable, que ce soit au sein des organisations professionnelles et communautaires, dans les dialogues avec l’État, les organismes de financement, etc. », a indiqué la Coordinatrice du Programme Femmes de la CAOPA qui a salué l’importance et l’utilité du Guide sur l’égalité homme femme pour la mise en œuvre des Directives. À son avis, les femmes doivent revendiquer des positions égales au sein des organisations professionnelles de pêche artisanale. Ce Guide, à l’aide d’études de cas et d’exemples tirés de la pêche artisanale à travers le monde, va, à son avis, lancer des discussions sur les choix possibles d’actions pour renforcer l’égalité femme-homme. « Il met l’accent sur les responsabilités des États, des institutions publiques, des organisations régionales et internationales, des organisations de la société civile, des collectivités et de leurs organisations pour mettre en œuvre des politiques et des plans qui aident à promouvoir l’égalité femme-homme tout en favorisant le développement durable du secteur de la pêche artisanale », a-t-elle indiqué.
A.DIEYE