Ce financement japonais intervient dans un contexte où notre pays explore les techniques de dessalement de l'eau de mer qui ont connu, au cours des 10 dernières années, un progrès notable en raison de la baisse du coût des équipements et de la réduction importante de la consommation d'énergie.
Mise en service attendue en janvier 2021
La réalisation du projet repose sur une planification technique s’étalant sur une période de 4 ans à compter de la signature accord de prêt intervenu le 15 novembre 2016. Le lancement de la sélection du Consultant est prévu en décembre 2016, le démarrage des études détaillées en avril 2017 ; Lancement des appels d’offres de ce projet sera fait en octobre 2017, le démarrage des travaux est prévu pour octobre 2018 et la mise en service de l’unité de dessalement de l’eau de mer des Mamelles est attendue en janvier 2021.
Amadou Bâ, ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a salué ce financement japonais car, à son avis, «malgré les investissements réalisés et les résultats positifs enregistrés notamment par le PEPAM (Programme eau potable et assainissement du Millénaire), des efforts restent à faire pour améliorer la qualité et la distribution de l’eau potable et maintenir un meilleur équilibre dans l’accès à cette ressource rare».
Tidiane Diouf
Mise en service attendue en janvier 2021
La réalisation du projet repose sur une planification technique s’étalant sur une période de 4 ans à compter de la signature accord de prêt intervenu le 15 novembre 2016. Le lancement de la sélection du Consultant est prévu en décembre 2016, le démarrage des études détaillées en avril 2017 ; Lancement des appels d’offres de ce projet sera fait en octobre 2017, le démarrage des travaux est prévu pour octobre 2018 et la mise en service de l’unité de dessalement de l’eau de mer des Mamelles est attendue en janvier 2021.
Amadou Bâ, ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a salué ce financement japonais car, à son avis, «malgré les investissements réalisés et les résultats positifs enregistrés notamment par le PEPAM (Programme eau potable et assainissement du Millénaire), des efforts restent à faire pour améliorer la qualité et la distribution de l’eau potable et maintenir un meilleur équilibre dans l’accès à cette ressource rare».
Tidiane Diouf