chroniques
‘’Nous avons, sous la vision claire du président de la République, Macky Sall et du management assuré de monsieur Oumar Guèye, ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, le Plan Sénégal émergent (PSE) qui constitue le référentiel de nos politiques de développement économique et social de notre pays au cœur duquel sont inscrites la
pêche et l’aquaculture comme étant des priorités majeures qui apportent de manière considérable un appui décisif’’, a soutenu M. Seck, selon qui la pêche est aujourd’hui le premier secteur d’exportation avec 244 milliards de francs CFA qui constituent un apport de devises particulièrement important pour le Sénégal, et est un secteur pourvoyeur d’emplois, qui participe fortement ainsi dans la politique de sécurité alimentaire et nutritionnelle du pays.
‘’Ce sont des résultats qui expliquent toute l’attention particulière que le président de la République accorde à ce secteur. Et ces résultats, nous les devons à une vision clairement définie, à une direction et un management ouvert et participatif du ministre Oumar Guèye qui, dans le cadre de la Lpsdpa, a pu initier un certain nombre d’orientation qui seraient de nature à renforcer notre secteur’’, a souligné Guèye Ahmad Abou Seck.
Il cite, entre autres initiatives, le renforcement des infrastructures et autres outils de développement du secteur à travers la construction de quais de pêche, la modernisation des structures de transformation ainsi que l’accompagnement social par des subventions sur les moteurs et le carburant. Il s’y ajoute également le renforcement du cadre législatif et réglementaire avec notamment l’adoption d’un nouveau code de la pêche en 2015.
M. Seck signale que le secteur des pêches est confronté à des défis majeurs tels que les changements climatique, la rareté de la ressource, la gestion durable de la ressource, la valorisation de la chaine de valeur, de la sécurité en mer, ainsi que la restauration des habitats, de la mise en œuvre de plans d’aménagement des pêcheries et la régulation de l’accès à la ressource.
Pour Arnaud Appriou, chargé de mission régionale à la Délégation de l’Ue au Sénégal, sa structure, en partenariat avec le ministère sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, a remis ces dix mille pots à poulpe à terre cuite fabriqués en argile, aux représentants des Conseils locaux de pêche artisanale (Clpa). Un don qui entre dans le cadre de l’accord de partenariat de pêche durable entre le Sénégal et l’Ue qui, à travers le projet ‘’Aménagement durable des pêcheries du Sénégal’’ (ADUPES), avait déjà financé quatre CLPA du département de Mbour pour la fabrication de pots à poulpe.
‘’Au-delà de ces pots à poulpe, l’accord de partenariat de pêche durable entre le Sénégal et l’Ue a permis aux pêcheurs artisanaux de bénéficier, en juin dernier, de 26 000 gilets de sauvetage et de la rénovation du quai de pêche de Hann’’, a rappelé le représentant de l’UE qui précise que cet appui sectoriel permet au gouvernement sénégalais de mettre en œuvre sa politique stratégique dans le secteur des pêches.
‘’Cette initiative sera, par ailleurs, complétée dans les prochains mois par la remontée de trois épaves du Port autonome de Dakar (Pad) pour les ré-immerger afin de créer des récifs artificiels’’, a annoncé M. Appriou qui fait noter que l’Ue reste engagée à poursuivre sa collaboration avec le gouvernement du Sénégal pour le développement d’une pêche artisanale durable et profitable pour les populations sénégalaises.
En outre, l’accord de partenariat prévoit des activités de pêche limitées aux navires thoniers et merlutiers européens dans les eaux sénégalaises, la coopération pour lutter contre la pêche INN, la coopération scientifique pour renforcer les connaissances sur la ressource halieutique et l’impact des pêches au Sénégal.
Serigne Makhtar Fall
pêche et l’aquaculture comme étant des priorités majeures qui apportent de manière considérable un appui décisif’’, a soutenu M. Seck, selon qui la pêche est aujourd’hui le premier secteur d’exportation avec 244 milliards de francs CFA qui constituent un apport de devises particulièrement important pour le Sénégal, et est un secteur pourvoyeur d’emplois, qui participe fortement ainsi dans la politique de sécurité alimentaire et nutritionnelle du pays.
‘’Ce sont des résultats qui expliquent toute l’attention particulière que le président de la République accorde à ce secteur. Et ces résultats, nous les devons à une vision clairement définie, à une direction et un management ouvert et participatif du ministre Oumar Guèye qui, dans le cadre de la Lpsdpa, a pu initier un certain nombre d’orientation qui seraient de nature à renforcer notre secteur’’, a souligné Guèye Ahmad Abou Seck.
Il cite, entre autres initiatives, le renforcement des infrastructures et autres outils de développement du secteur à travers la construction de quais de pêche, la modernisation des structures de transformation ainsi que l’accompagnement social par des subventions sur les moteurs et le carburant. Il s’y ajoute également le renforcement du cadre législatif et réglementaire avec notamment l’adoption d’un nouveau code de la pêche en 2015.
M. Seck signale que le secteur des pêches est confronté à des défis majeurs tels que les changements climatique, la rareté de la ressource, la gestion durable de la ressource, la valorisation de la chaine de valeur, de la sécurité en mer, ainsi que la restauration des habitats, de la mise en œuvre de plans d’aménagement des pêcheries et la régulation de l’accès à la ressource.
Pour Arnaud Appriou, chargé de mission régionale à la Délégation de l’Ue au Sénégal, sa structure, en partenariat avec le ministère sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, a remis ces dix mille pots à poulpe à terre cuite fabriqués en argile, aux représentants des Conseils locaux de pêche artisanale (Clpa). Un don qui entre dans le cadre de l’accord de partenariat de pêche durable entre le Sénégal et l’Ue qui, à travers le projet ‘’Aménagement durable des pêcheries du Sénégal’’ (ADUPES), avait déjà financé quatre CLPA du département de Mbour pour la fabrication de pots à poulpe.
‘’Au-delà de ces pots à poulpe, l’accord de partenariat de pêche durable entre le Sénégal et l’Ue a permis aux pêcheurs artisanaux de bénéficier, en juin dernier, de 26 000 gilets de sauvetage et de la rénovation du quai de pêche de Hann’’, a rappelé le représentant de l’UE qui précise que cet appui sectoriel permet au gouvernement sénégalais de mettre en œuvre sa politique stratégique dans le secteur des pêches.
‘’Cette initiative sera, par ailleurs, complétée dans les prochains mois par la remontée de trois épaves du Port autonome de Dakar (Pad) pour les ré-immerger afin de créer des récifs artificiels’’, a annoncé M. Appriou qui fait noter que l’Ue reste engagée à poursuivre sa collaboration avec le gouvernement du Sénégal pour le développement d’une pêche artisanale durable et profitable pour les populations sénégalaises.
En outre, l’accord de partenariat prévoit des activités de pêche limitées aux navires thoniers et merlutiers européens dans les eaux sénégalaises, la coopération pour lutter contre la pêche INN, la coopération scientifique pour renforcer les connaissances sur la ressource halieutique et l’impact des pêches au Sénégal.
Serigne Makhtar Fall
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