"Les projets de textes sur le stage devraient instaurer des garanties juridiques en faveur de l'entreprise et du stagiaire à travers une meilleure employabilité des jeunes, favoriser l'insertion professionnelle (…)'', a-t-il dit.
Mamadou Sow intervenait à l'ouverture d'une session du Conseil consultatif national du Travail et de la Sécurité sociale (CCNTSS) sur l'apprentissage et le stage. Il a souligné la nécessité d'une revue du cadre juridique réglementant le stage et l'apprentissage.
La législation en vigueur ne prévoit que le cas d'une personne liée par un contrat de travail, d'où l'implication du CCNTSS, une institution vouée au dialogue sociale et qui doit être saisie avant tout dépôt de projet de loi sur les questions relatives au travail et à la sécurité sociale.
Le Conseil consultatif national du Travail et de la Sécurité sociale (CCNTSS) est également saisi pour certains projets de textes et tout autre décret pris en application au code du travail.
Ces réformes devraient favoriser "un recours approprié au stage et à l'apprentissage par les entreprises qui ne manqueront pas de trouver sur le marché du travail à chaque fois que de besoin, les compétences recherchées".
"J'ose espérer que le cadre juridique proposé pour l'encadrement du stage et de l'apprentissage aura l'avantage (…) de faire des jeunes diplômés des ressources humaines qualifiées, aptes à la production et disposant d'une plus grande facilité d'insertion professionnelle", a indiqué M. Sow.
Selon lui, "la réforme de l'apprentissage tend à l'allègement des formalités, à l'instauration de garanties juridiques et de mesures incitatives".
La réglementation en vigueur "couvre déjà de nombreux aspects du contrat d'apprentissage mais il faut réadapter certaines de ses anciennes dispositions et en introduire de nouvelles", a préconisé le secrétaire général du ministère du Travail du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions.
Le nouveau projet de texte relatif l'apprentissage prévoit, entre autres, la suppression de la formalité du visa, l'établissement d'un délai d'un mois pour le dépôt, la requalification des contrats dénommés "contrat d'apprentissage".
Il est aussi pris en compte, poursuit-il, "les conditions d'un défraiement approprié de l'apprentissage, les incitations à l'intention des entreprises et des maîtres, le respect des dispositions en matière de travail des enfants (…)".
APS
Mamadou Sow intervenait à l'ouverture d'une session du Conseil consultatif national du Travail et de la Sécurité sociale (CCNTSS) sur l'apprentissage et le stage. Il a souligné la nécessité d'une revue du cadre juridique réglementant le stage et l'apprentissage.
La législation en vigueur ne prévoit que le cas d'une personne liée par un contrat de travail, d'où l'implication du CCNTSS, une institution vouée au dialogue sociale et qui doit être saisie avant tout dépôt de projet de loi sur les questions relatives au travail et à la sécurité sociale.
Le Conseil consultatif national du Travail et de la Sécurité sociale (CCNTSS) est également saisi pour certains projets de textes et tout autre décret pris en application au code du travail.
Ces réformes devraient favoriser "un recours approprié au stage et à l'apprentissage par les entreprises qui ne manqueront pas de trouver sur le marché du travail à chaque fois que de besoin, les compétences recherchées".
"J'ose espérer que le cadre juridique proposé pour l'encadrement du stage et de l'apprentissage aura l'avantage (…) de faire des jeunes diplômés des ressources humaines qualifiées, aptes à la production et disposant d'une plus grande facilité d'insertion professionnelle", a indiqué M. Sow.
Selon lui, "la réforme de l'apprentissage tend à l'allègement des formalités, à l'instauration de garanties juridiques et de mesures incitatives".
La réglementation en vigueur "couvre déjà de nombreux aspects du contrat d'apprentissage mais il faut réadapter certaines de ses anciennes dispositions et en introduire de nouvelles", a préconisé le secrétaire général du ministère du Travail du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions.
Le nouveau projet de texte relatif l'apprentissage prévoit, entre autres, la suppression de la formalité du visa, l'établissement d'un délai d'un mois pour le dépôt, la requalification des contrats dénommés "contrat d'apprentissage".
Il est aussi pris en compte, poursuit-il, "les conditions d'un défraiement approprié de l'apprentissage, les incitations à l'intention des entreprises et des maîtres, le respect des dispositions en matière de travail des enfants (…)".
APS