
Il présidait l’ouverture de l’atelier de restitution de l’étude sur l’application des normes et code en matière de comptabilité et audit au Sénégal (ROSC C&A) organisé par la Banque mondiale.
Selon lui, la pratique illégale de la profession comptable et les conflits d’intérêts sont à la base parfois des difficultés dans les relations d’affaires notamment avec les institutions financières et l’administration fiscale. Il a invité à cet effet l’ordre national des experts comptables et comptables agréés (ONECCA) à adopter et à mettre en œuvre des politiques vigoureuses pour l’assainissement de la profession par le bannissement de pratiques non conforme à l’éthique.
Il estime d’autre part que la perspective de l’application effective des innovations prévues par les nouvelles directives de l’UEMOA sur les finances publiques, implique la tenue d’une comptabilité patrimoniale, la production et la diffusion de données de qualité pour les besoins de la reddition des comptes et l’exercice d’un contrôle citoyen de la gestion publique conformément au code de transparence adopté par le Sénégal. « Ainsi, souligne le secrétaire général du ministère des finances, le Sénégal a pris l’option de bâtir son système de comptabilité publique en rapport avec la comptabilité privée tout en garantissant la spécificité liée à l’Etat ». Au passage, il n’a pas manqué de remercier vivement l’ONECCA pour l’accompagnement dans la conduite de cette importante réforme notamment dans le recensement et la valorisation du patrimoine de l’Etat dans la perspective de l’établissement du bilan d’ouverture en 2017.
El Hadj Diakhaté
Selon lui, la pratique illégale de la profession comptable et les conflits d’intérêts sont à la base parfois des difficultés dans les relations d’affaires notamment avec les institutions financières et l’administration fiscale. Il a invité à cet effet l’ordre national des experts comptables et comptables agréés (ONECCA) à adopter et à mettre en œuvre des politiques vigoureuses pour l’assainissement de la profession par le bannissement de pratiques non conforme à l’éthique.
Il estime d’autre part que la perspective de l’application effective des innovations prévues par les nouvelles directives de l’UEMOA sur les finances publiques, implique la tenue d’une comptabilité patrimoniale, la production et la diffusion de données de qualité pour les besoins de la reddition des comptes et l’exercice d’un contrôle citoyen de la gestion publique conformément au code de transparence adopté par le Sénégal. « Ainsi, souligne le secrétaire général du ministère des finances, le Sénégal a pris l’option de bâtir son système de comptabilité publique en rapport avec la comptabilité privée tout en garantissant la spécificité liée à l’Etat ». Au passage, il n’a pas manqué de remercier vivement l’ONECCA pour l’accompagnement dans la conduite de cette importante réforme notamment dans le recensement et la valorisation du patrimoine de l’Etat dans la perspective de l’établissement du bilan d’ouverture en 2017.
El Hadj Diakhaté