C’est au terme d’un large processus de formulation ayant impliqué tous les acteurs concernés, que le PIC III a été ficelé. Cette coopération entre le Sénégal et le Grand-Duché de Luxembourg a permis de bâtir au fil des années « un véritable socle » sur lequel repose « un partenariat fructueux reflétant les relations exemplaires entre nos deux Etats », a soutenu le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ. Grâce au soutien et à l’appui multiforme que le Grand-Duché de Luxembourg apporte pour le développement économique et social du Sénégal, « de multiples activités ont pu être réalisées au cours de ces dernières années au bénéfice des populations », renseigne Amadou Bâ. Selon lui, l’objectif recherché est de « valoriser les compétences distinctives de la coopération luxembourgeoise dans ces domaines ». Ceci, dans l’optique de consolider « l’exécution nationale à travers un appui institutionnel au secteur de l’hydraulique et de l’assainissement » a-t-il ajouté.
Au regard de ces acquis, le ministre de l’Economie et des Finances tient à rassurer les autorités luxembourgeoises que « les principes majeurs de planifications du développement qui ont guidé le processus depuis la phase de pré-formulation, vont s’appliquer dans la phase de mise en œuvre ». Car, soutient-il, ce partenariat est « un modèle de pragmatisme et d’efficacité dans l’appropriation et la prise en charge effective des besoins des populations bénéficiaires ». Par cette même occasion, Amadou Bâ a salué l’effort remarquable déployé par les autorités luxembourgeoises « pour augmenter les ressources allouées à notre pays malgré les contraintes inhérentes au contexte de la crise financière mondiale ».
Pour sa part, la Directrice Générale de la Coopération luxembourgeoise Mme Martine Schommer, soutient que « cette augmentation résulte des résultats satisfaisants des programmes précédents ». Selon elle, ce PIC III d’un montant de 45 milliards de FCFA, soit une augmentation de 27% par rapport aux programmes précédents « devrait contribuer à la réduction de la pauvreté et à l’accélération pour l’atteinte des OMD ».
Le 3ème Programme Indicatif de Coopération entre le Sénégal et le Grand-Duché de Luxembourg devra contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement durable au Sénégal, dans le cadre du Document de Politique Economique et Social par l’alignement sur les politiques et orientations nationales et par l’utilisation accrue des mécanismes nationaux d’exécution des opérations et des ressources financières. D’une durée de cinq ans, le programme va intervenir dans les secteurs de la santé, de l’enseignement, de la décentralisation, du développement territorial entre autres. L’innovation majeure apportée dans le PIC III résulte du fait qu’il sera principalement mis en œuvre par le biais d’un mécanisme très proche d’un appui budgétaire, mais sans fongibilité des ressources.
Amy Diallo
Au regard de ces acquis, le ministre de l’Economie et des Finances tient à rassurer les autorités luxembourgeoises que « les principes majeurs de planifications du développement qui ont guidé le processus depuis la phase de pré-formulation, vont s’appliquer dans la phase de mise en œuvre ». Car, soutient-il, ce partenariat est « un modèle de pragmatisme et d’efficacité dans l’appropriation et la prise en charge effective des besoins des populations bénéficiaires ». Par cette même occasion, Amadou Bâ a salué l’effort remarquable déployé par les autorités luxembourgeoises « pour augmenter les ressources allouées à notre pays malgré les contraintes inhérentes au contexte de la crise financière mondiale ».
Pour sa part, la Directrice Générale de la Coopération luxembourgeoise Mme Martine Schommer, soutient que « cette augmentation résulte des résultats satisfaisants des programmes précédents ». Selon elle, ce PIC III d’un montant de 45 milliards de FCFA, soit une augmentation de 27% par rapport aux programmes précédents « devrait contribuer à la réduction de la pauvreté et à l’accélération pour l’atteinte des OMD ».
Le 3ème Programme Indicatif de Coopération entre le Sénégal et le Grand-Duché de Luxembourg devra contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement durable au Sénégal, dans le cadre du Document de Politique Economique et Social par l’alignement sur les politiques et orientations nationales et par l’utilisation accrue des mécanismes nationaux d’exécution des opérations et des ressources financières. D’une durée de cinq ans, le programme va intervenir dans les secteurs de la santé, de l’enseignement, de la décentralisation, du développement territorial entre autres. L’innovation majeure apportée dans le PIC III résulte du fait qu’il sera principalement mis en œuvre par le biais d’un mécanisme très proche d’un appui budgétaire, mais sans fongibilité des ressources.
Amy Diallo