Selon le communiqué de la Banque africaine de développement, le rapport chiffre à 1,6 milliard de dollars EU le total des prêts et dons accordés par la Banque dans le domaine des transports et des TIC pour l’année 2016. Cette somme se répartie entre 15 pays, à travers des projets d’une grande diversité, tels que des corridors routiers internationaux, des lignes ferroviaires, des infrastructures urbaines ou encore des projets liés aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Ces nouveaux chantiers viennent s’ajouter à ceux déjà en cours d’exécution dans les secteurs du transport et des TIC, pour atteindre fin 2016 un total de 118 projets, répartis dans 47 pays, pour un montant global de 11,8 milliards de dollars.
«Le transport et les TIC jouent un rôle substantiel dans la poursuite des cinq priorités opérationnelles de la Banque, notamment dans l’appui à l’industrialisation, à l’intégration régionale, à la modernisation de l’agriculture, et plus globalement, à l’amélioration des conditions de vie des populations», a expliqué Amadou Oumarou, directeur du département Infrastructure, villes et développement durable au sein de la BAD.
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En 2016, l’engagement de la Banque s’est accru et a permis d’accorder une place prépondérante à la mobilité urbaine et au développement de villes durables. Le document annonce notamment la création d’une division «Villes et Développement urbain», qui devrait permettre à la l’institution de traiter les défis posés par l'urbanisation rapide du continent. L’année écoulée a d’ailleurs été marquée par d’importants projets d’infrastructures à Abidjan, Accra et Kampala, pour un total de plus de 500 millions de dollars, montant sans précédent pour la Banque dans le domaine du transport urbain.
Pathé TOURE
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«Le transport et les TIC jouent un rôle substantiel dans la poursuite des cinq priorités opérationnelles de la Banque, notamment dans l’appui à l’industrialisation, à l’intégration régionale, à la modernisation de l’agriculture, et plus globalement, à l’amélioration des conditions de vie des populations», a expliqué Amadou Oumarou, directeur du département Infrastructure, villes et développement durable au sein de la BAD.
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En 2016, l’engagement de la Banque s’est accru et a permis d’accorder une place prépondérante à la mobilité urbaine et au développement de villes durables. Le document annonce notamment la création d’une division «Villes et Développement urbain», qui devrait permettre à la l’institution de traiter les défis posés par l'urbanisation rapide du continent. L’année écoulée a d’ailleurs été marquée par d’importants projets d’infrastructures à Abidjan, Accra et Kampala, pour un total de plus de 500 millions de dollars, montant sans précédent pour la Banque dans le domaine du transport urbain.
Pathé TOURE
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