En effet, souligne un communiqué, la première précaution édictée par l’UIT concerne le fait que les données entre 2015 et 2016 ne soient pas directement comparables, à la suite du changement du sous-indice lié aux compétences.
Par conséquent, en présentant le classement 2016 sur une nouvelle base de calcul, l’UIT réajuste le classement de 2015 dans lequel le Sénégal occupe la 140eme place. Il perd donc une (1) place au niveau mondial en une année, avec cependant, une amélioration des indices liés à l’accès, à l’usage et une stagnation de l’indice des compétences. Par ailleurs, si on compare les résultats dans le temps, le Sénégal a plutôt gagné 5 places entre 2010 et 2015.
Bien entendu, ajoute la même source, le Président de l’ASUTIC ignore également que ce sont les données de 2015 qui sont collectées pour le rapport de 2016 et qu’avec l’adoption de la stratégie «Sénégal numérique 2025» en 2016, ces indicateurs seront particulièrement suivis. En 2017, le Sénégal mettra en place son Observatoire Nationale du Numérique (ONN) qui figure en priorité dans le plan d’actions de la stratégie «Sénégal numérique 2025». Il devra permettre de fournir des données fiables et conformes à la réalité. La sélection du cabinet chargé de sa conception est en cours et l’enquête nationale sur les TIC est déjà prévue pour servir de situation de référence.
En ce qui concerne le document «Sénégal numérique 2025», le secteur public et privé national, le milieu académique, ainsi que les associations de consommateurs s’en sont réjouis sauf à priori l’ASUTIC. Le Ministère des Postes et des Télécommunications a bien impliqué l’association dans le processus de formulation et de validation.
Pathé TOURE
Par conséquent, en présentant le classement 2016 sur une nouvelle base de calcul, l’UIT réajuste le classement de 2015 dans lequel le Sénégal occupe la 140eme place. Il perd donc une (1) place au niveau mondial en une année, avec cependant, une amélioration des indices liés à l’accès, à l’usage et une stagnation de l’indice des compétences. Par ailleurs, si on compare les résultats dans le temps, le Sénégal a plutôt gagné 5 places entre 2010 et 2015.
Bien entendu, ajoute la même source, le Président de l’ASUTIC ignore également que ce sont les données de 2015 qui sont collectées pour le rapport de 2016 et qu’avec l’adoption de la stratégie «Sénégal numérique 2025» en 2016, ces indicateurs seront particulièrement suivis. En 2017, le Sénégal mettra en place son Observatoire Nationale du Numérique (ONN) qui figure en priorité dans le plan d’actions de la stratégie «Sénégal numérique 2025». Il devra permettre de fournir des données fiables et conformes à la réalité. La sélection du cabinet chargé de sa conception est en cours et l’enquête nationale sur les TIC est déjà prévue pour servir de situation de référence.
En ce qui concerne le document «Sénégal numérique 2025», le secteur public et privé national, le milieu académique, ainsi que les associations de consommateurs s’en sont réjouis sauf à priori l’ASUTIC. Le Ministère des Postes et des Télécommunications a bien impliqué l’association dans le processus de formulation et de validation.
Pathé TOURE