Les représentants du peuple trouvent inadmissible que la Sonatel laisse persister le déficit dans la couverture du réseau dans certaines localités, comme la commune de Lagbar et des pannes de réseau. C‘est pourquoi, ils ont appelés Mansour Elimane Kane, le ministre des Postes et des Télécommunications à déployer des efforts pour élargir l’accès à l’internet et au téléphone dans toutes les localités du pays.
Les parlementaires soulignent aussi que les antennes de la Sonatel installées sur les toits des maisons continuent de faire l’objet de débat au niveau des communes et au niveau de l’association des Maires du Sénégal. En effet, ils n’ont pas compris que l’installation de ces antennes dans les communes n’ait aucune incidence sur les finances locales. Et les députés se désolent de l’attitude de la Sonatel, consistant à s’abstenir de payer des redevances aux communes. Un comportement qui est d’ailleurs entrain d’être copiée par les autres opérateurs.
De la même façon, le serveur Orange money supposé être domicilié à l’extérieur du pays, ne donne pas l’opportunité au Sénégal d’encaisser des redevances selon les parlementaires. Les députés se sont aussi insurgés contre l’ « arnaque » dont les clients font l’objet sur le crédit extérieur et sur les factures internet ainsi que le défaut de fonctionnalité des lignes téléphoniques de l’assemblée nationale.
En définitive pour la représentation nationale, ce comportement « arrogant » de la Sonatel ne donne satisfaction ni aux communes, ni à l’Etat, ni aux citoyens sénégalais. Et ce manque à gagner appelle, selon certains parlementaires, à ne pas renouveler le contrat de concession d’Orange avec la Société nationale des télécommunications, qui prend fin en 2016. Toutefois, d’autres députés ont cherché plutôt à être édifiés sur les options retenues à la fin du contrat, autrement dit à savoir si l’Etat du Sénégal s’oriente vers une renégociation en vue d’un renouvellement du bail ou vers un appel d’offre ouvert à tous les candidats.
Ismaila BA
Les parlementaires soulignent aussi que les antennes de la Sonatel installées sur les toits des maisons continuent de faire l’objet de débat au niveau des communes et au niveau de l’association des Maires du Sénégal. En effet, ils n’ont pas compris que l’installation de ces antennes dans les communes n’ait aucune incidence sur les finances locales. Et les députés se désolent de l’attitude de la Sonatel, consistant à s’abstenir de payer des redevances aux communes. Un comportement qui est d’ailleurs entrain d’être copiée par les autres opérateurs.
De la même façon, le serveur Orange money supposé être domicilié à l’extérieur du pays, ne donne pas l’opportunité au Sénégal d’encaisser des redevances selon les parlementaires. Les députés se sont aussi insurgés contre l’ « arnaque » dont les clients font l’objet sur le crédit extérieur et sur les factures internet ainsi que le défaut de fonctionnalité des lignes téléphoniques de l’assemblée nationale.
En définitive pour la représentation nationale, ce comportement « arrogant » de la Sonatel ne donne satisfaction ni aux communes, ni à l’Etat, ni aux citoyens sénégalais. Et ce manque à gagner appelle, selon certains parlementaires, à ne pas renouveler le contrat de concession d’Orange avec la Société nationale des télécommunications, qui prend fin en 2016. Toutefois, d’autres députés ont cherché plutôt à être édifiés sur les options retenues à la fin du contrat, autrement dit à savoir si l’Etat du Sénégal s’oriente vers une renégociation en vue d’un renouvellement du bail ou vers un appel d’offre ouvert à tous les candidats.
Ismaila BA