La destination Sénégal a enregistré en 2016, près de 1.600.000 touristes, contre 984.000 en 2015 selon les autorités. Une amélioration qui corrobore avec l’analyse du rapport présenté ce jeudi par la plateforme africaine de réservation d’hôtels en ligne Jumia Travel. « L’objectif pour nous à travers ce document est d’apporter notre expertise et de mettre à la disposition de tous les acteurs des données permettant de comprendre et d’apprécier ce qui se fait actuellement dans ce secteur. L’absence de données a longtemps été un handicap pour notre tourisme », a déclaré ismael Cabral Kambell, responsable Communication et relations publiques de ladite structure.
Un redécollage qui selon les explications fournies est à classer dans « les efforts entrepris par l’ensemble des acteurs nationaux de ce secteur, et aux efforts du gouvernement ». Dans cet élan, le rapport se félicite des actions menées par les différentes agences de l’Etat et la décision de suspendre le visa d’entrée dans le pays, ce qui aurait contribué favorablement à la relance du secteur.
Le rapport nous apprend que la capitale Dakar reste la zone la plus fréquentée par les touristes avec environ 41% des demandes mais aussi la plus chère avec un coût moyen de nuitée de 42000 FCFA, suivi de la Petite côte (35%) avec un coût moyen de nuitée à 41000 FCFA, Sine Saloum (9%) avec un coût moyen de nuitée à environ 33000 FCFA, la région du fleuve et la Casamance totalisent quant à elles une demande d’environ 7% et 4% avec un coût moyen de nuitée de 24000 FCFA et 18000 FCFA. Les autres régions qui gagneraient à être davantage promus n’enregistrent que 4%.
Les hôtels trois étoiles sont les plus sollicités par les touristes (42%), suivi des deux étoiles (31%), quatre étoiles (16%), cinq étoiles (6%), quant aux hôtels avec une étoile, ils ne constituent que 5% de la demande. Sur ce point, le rapport insiste sur l’entretien et la rénovation des établissements hôteliers au Sénégal. « La qualité des services, reste très négligée par de nombreux hôteliers, ce qui est un gros problème quand on parle de tourisme international. Les consommateurs sont désormais très exigeants, et si on veut attirer plus de touristes il nous faut un label qualité irréprochable. A ce niveau, nous avons un grand retard et devons y travailler », a commenté le Directeur de Jumia Travel Afrique francophone Guillaume Pepin.
Autre point important évoqué par le rapport, le développement d’un tourisme local, qui bien que encore faible, a connu une poussée intéressante, avec le développement d’une classe moyenne qui de plus en plus visite le Sénégal durant les périodes de vacances, mais aussi une croissance des arrivées en provenance du continent.
Au titre des répartitions, les touristes internationaux représentent environ 54% de la demande et s’orientent principalement vers les loisirs et les affaires. 63,8% des recettes touristiques proviennent des touristes internationaux, et 32,6% des touristes locaux.
Le rapport souligne cependant de nombreux points qui devraient être davantage améliorés, notamment le développement de l’écotourisme, qui pourrait contribuer considérablement à hisser le Sénégal parmi les destinations les plus appréciées, mais aussi le défi de la formation, car malgré la pléthore d’établissements supérieurs au Sénégal, les formations aux métiers touristiques du demeurent quasi inexistants au Sénégal.
Un redécollage qui selon les explications fournies est à classer dans « les efforts entrepris par l’ensemble des acteurs nationaux de ce secteur, et aux efforts du gouvernement ». Dans cet élan, le rapport se félicite des actions menées par les différentes agences de l’Etat et la décision de suspendre le visa d’entrée dans le pays, ce qui aurait contribué favorablement à la relance du secteur.
Le rapport nous apprend que la capitale Dakar reste la zone la plus fréquentée par les touristes avec environ 41% des demandes mais aussi la plus chère avec un coût moyen de nuitée de 42000 FCFA, suivi de la Petite côte (35%) avec un coût moyen de nuitée à 41000 FCFA, Sine Saloum (9%) avec un coût moyen de nuitée à environ 33000 FCFA, la région du fleuve et la Casamance totalisent quant à elles une demande d’environ 7% et 4% avec un coût moyen de nuitée de 24000 FCFA et 18000 FCFA. Les autres régions qui gagneraient à être davantage promus n’enregistrent que 4%.
Les hôtels trois étoiles sont les plus sollicités par les touristes (42%), suivi des deux étoiles (31%), quatre étoiles (16%), cinq étoiles (6%), quant aux hôtels avec une étoile, ils ne constituent que 5% de la demande. Sur ce point, le rapport insiste sur l’entretien et la rénovation des établissements hôteliers au Sénégal. « La qualité des services, reste très négligée par de nombreux hôteliers, ce qui est un gros problème quand on parle de tourisme international. Les consommateurs sont désormais très exigeants, et si on veut attirer plus de touristes il nous faut un label qualité irréprochable. A ce niveau, nous avons un grand retard et devons y travailler », a commenté le Directeur de Jumia Travel Afrique francophone Guillaume Pepin.
Autre point important évoqué par le rapport, le développement d’un tourisme local, qui bien que encore faible, a connu une poussée intéressante, avec le développement d’une classe moyenne qui de plus en plus visite le Sénégal durant les périodes de vacances, mais aussi une croissance des arrivées en provenance du continent.
Au titre des répartitions, les touristes internationaux représentent environ 54% de la demande et s’orientent principalement vers les loisirs et les affaires. 63,8% des recettes touristiques proviennent des touristes internationaux, et 32,6% des touristes locaux.
Le rapport souligne cependant de nombreux points qui devraient être davantage améliorés, notamment le développement de l’écotourisme, qui pourrait contribuer considérablement à hisser le Sénégal parmi les destinations les plus appréciées, mais aussi le défi de la formation, car malgré la pléthore d’établissements supérieurs au Sénégal, les formations aux métiers touristiques du demeurent quasi inexistants au Sénégal.