
La première étape du Recensement général des entreprises (RGE) tant attendu a finalement eu lieu. L’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) a donné le coup d’envoi dans les zones de Bel Air, Fass, Colobane et Hlm. Dans ces localités de la capitale, une soixantaine de cartographes ont été lancé sur le terrain pour la conduite de cette opération.
Pour le directeur général de l’ANSD, Aboubacar Sadikh Bèye, ce RGE permettrait d’élaborer le référentiel qui permettra de jauger les performances de l’économie dans une période de 5 ans. Selon lui, à travers ce processus, son agence cherche à créer une situation de référence en choisissant l’année 2014 comme nouvelle année de base pour revoir les bases sur lesquelles l’économie se fonde au Sénégal.
«Qui dit économie, pense forcément production de biens et services. Or l’unité primaire de biens et services est l’entreprise», fait-il savoir. Et d’ajouter que ce recensement général des entreprises qui est une première permettra de disposer d’une véritable base de données de toutes les unités qui produisent de la richesse, de la plus petite entreprise à la plus grande.
«Nous avons besoin de connaître les dynamiques de tous les secteurs, les emplois générés, la valeur ajoutée, la composition de l’entreprenariat, la démographie des entreprises elle-même», fait le DG de l’ANSD. Mieux, ce recensement a d’autres vertus. Il va permettre aux investisseurs, entrepreneurs, collectivités locales, aux partenaires techniques et financiers, aux ONG et à tous les acteurs de développement de dénombrer et de connaître l’environnement des entreprises, dans le but de mieux piloter l’économie sénégalaise et prendre les meilleures décisions.
Ismaila BA
Pour le directeur général de l’ANSD, Aboubacar Sadikh Bèye, ce RGE permettrait d’élaborer le référentiel qui permettra de jauger les performances de l’économie dans une période de 5 ans. Selon lui, à travers ce processus, son agence cherche à créer une situation de référence en choisissant l’année 2014 comme nouvelle année de base pour revoir les bases sur lesquelles l’économie se fonde au Sénégal.
«Qui dit économie, pense forcément production de biens et services. Or l’unité primaire de biens et services est l’entreprise», fait-il savoir. Et d’ajouter que ce recensement général des entreprises qui est une première permettra de disposer d’une véritable base de données de toutes les unités qui produisent de la richesse, de la plus petite entreprise à la plus grande.
«Nous avons besoin de connaître les dynamiques de tous les secteurs, les emplois générés, la valeur ajoutée, la composition de l’entreprenariat, la démographie des entreprises elle-même», fait le DG de l’ANSD. Mieux, ce recensement a d’autres vertus. Il va permettre aux investisseurs, entrepreneurs, collectivités locales, aux partenaires techniques et financiers, aux ONG et à tous les acteurs de développement de dénombrer et de connaître l’environnement des entreprises, dans le but de mieux piloter l’économie sénégalaise et prendre les meilleures décisions.
Ismaila BA