L’information émane du FMI. D’après les projections des Perspectives de l’économie mondiale, le taux de croissance de ces pays n’augmentera que modérément par rapport à 2015, passant à 4,1 % cette année et 4,6 % l’année suivante.
Selon la même source, ces prévisions reposent sur divers facteurs : le ralentissement de la croissance des pays exportateurs de pétrole, compte tenu de la baisse des cours pétroliers, ainsi que perspectives d’évolution encore médiocres des pays exportateurs de matières premières non pétrolières, y compris en Amérique latine.
Le ralentissement modéré en Chine, dont l’économie continue à se réorienter vers un modèle de croissance tiré davantage par les services et la consommation et moins par l’industrie manufacturière et les investissements.
La gravité des récessions au Brésil et en Russie, et la faiblesse de la croissance de certains pays d’Amérique latine et du Moyen-Orient, en particulier ceux qui subissent de plein fouet les effets de la chute des cours pétroliers et de l’intensification des conflits et des risques sécuritaires.
L’affaiblissement des perspectives de croissance de nombreuses nations africaines et de pays à faible revenu dû à la conjoncture mondiale défavorable.
Du côté positif, l’Inde continue à briller par sa robuste croissance et la hausse des revenus réels.
Pathé TOURE
Selon la même source, ces prévisions reposent sur divers facteurs : le ralentissement de la croissance des pays exportateurs de pétrole, compte tenu de la baisse des cours pétroliers, ainsi que perspectives d’évolution encore médiocres des pays exportateurs de matières premières non pétrolières, y compris en Amérique latine.
Le ralentissement modéré en Chine, dont l’économie continue à se réorienter vers un modèle de croissance tiré davantage par les services et la consommation et moins par l’industrie manufacturière et les investissements.
La gravité des récessions au Brésil et en Russie, et la faiblesse de la croissance de certains pays d’Amérique latine et du Moyen-Orient, en particulier ceux qui subissent de plein fouet les effets de la chute des cours pétroliers et de l’intensification des conflits et des risques sécuritaires.
L’affaiblissement des perspectives de croissance de nombreuses nations africaines et de pays à faible revenu dû à la conjoncture mondiale défavorable.
Du côté positif, l’Inde continue à briller par sa robuste croissance et la hausse des revenus réels.
Pathé TOURE