
Dans son Plan d’action mondial, la Directrice générale du Fmi offre les services de son institution pour aider les pays à sortir de l’ornière. Pour cela, il faudra des mesures résolues pour une croissance durable. Christine Lagarde estime dans ce sens que l’intervention du FMI pour aider ses pays membres consiste à mettre à profit l’aide privilégiant une approche agile, intégrée et centrée sur les pays membres qu’il s’est efforcé d’apporter. Selon elle, FMI va faire davantage pour aider ses pays membres à tenir l’engagement qu’ils ont réaffirmé en faveur de la croissance.
Le plan d’action consiste concrètement à la surveillance. La démarche consistera essentiellement à donner des conseils francs sur la définition des politiques et à déterminer où les pays disposent d’une marge de manœuvre pour agir davantage, tout en réagissant aux nouveaux défis auxquels les pays sont confrontés. Le développement des capacités visera les réformes prioritaires définies grâce au travail de surveillance.
De même, les ressources financières du FMI seront disponibles pour mettre en œuvre plus énergiquement les politiques publiques tout en préservant la stabilité financière et en protégeant ceux qui sont vulnérables à la situation actuelle. Pour accomplir efficacement ces tâches, ainsi que d’autres qui lui incombent, il sera essentiel que le FMI continue de disposer de ressources adéquates.
Le Plan d’action du FMI, estime Lagarde va déterminer plus en amont la marge de manœuvre disponible et les mesures qui s’imposent. En particulier, il continuera d’analyser les conséquences d’un assouplissement de la contrainte limitant à zéro les taux d’intérêt directeurs. Étant donné qu’il est nécessaire d’adopter un meilleur arsenal de mesures, le FMI encouragera une approche concertée, en déterminant dans quels cas la politique budgétaire peut jouer un plus grand rôle en stimulant la demande tout en intensifiant les réformes structurelles.
Pathé TOURE
Le plan d’action consiste concrètement à la surveillance. La démarche consistera essentiellement à donner des conseils francs sur la définition des politiques et à déterminer où les pays disposent d’une marge de manœuvre pour agir davantage, tout en réagissant aux nouveaux défis auxquels les pays sont confrontés. Le développement des capacités visera les réformes prioritaires définies grâce au travail de surveillance.
De même, les ressources financières du FMI seront disponibles pour mettre en œuvre plus énergiquement les politiques publiques tout en préservant la stabilité financière et en protégeant ceux qui sont vulnérables à la situation actuelle. Pour accomplir efficacement ces tâches, ainsi que d’autres qui lui incombent, il sera essentiel que le FMI continue de disposer de ressources adéquates.
Le Plan d’action du FMI, estime Lagarde va déterminer plus en amont la marge de manœuvre disponible et les mesures qui s’imposent. En particulier, il continuera d’analyser les conséquences d’un assouplissement de la contrainte limitant à zéro les taux d’intérêt directeurs. Étant donné qu’il est nécessaire d’adopter un meilleur arsenal de mesures, le FMI encouragera une approche concertée, en déterminant dans quels cas la politique budgétaire peut jouer un plus grand rôle en stimulant la demande tout en intensifiant les réformes structurelles.
Pathé TOURE