‘’Sur ce nombre, nous avons déjà finalisé six bas-fonds et huit sont en cours de réalisation ’, a-t-il précisé, au terme d’une visite de terrain effectuée dans les différents zones d’interventions du PASA dans la région de Kaffrine.
M. Diaw a souligné qu’il est attendu de ces bas-fonds un potentiel de production en riz à raison d’1,5 à 3 tonnes de rendement sur 5.000 hectares, si les techniques de production sont améliorées.
Intervenant dans la région depuis un plus d’un an, le PASA prévoit également ''d’assurer un programme de formation et d’organisation'' des producteurs, en vue d’une bonne utilisation des ouvrages, a indiqué son coordonnateur.
‘’Les populations seront préparées à l’utilisation et à l’entretien correct de ces ouvrages. Un comité de suivi local composé des villages polarisés par ces ouvrages a été mis en place dans ce sens’’, a-t-il signalé.
Le PASA est financé à près de 25 milliards de francs CFA, grâce à un partenariat entre l’Etat du Sénégal, la Banque africaine de développement (BAD) et le Programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire (GAFSP), pour une durée de cinq ans.
Il intervient dans les régions de Kaffrine, Louga et Matam. Environ 400.000 habitants de ces régions vont bénéficier des retombées de ce projet à travers l’aménagement des bas-fonds, la mise en place de fermes et les activités d’élevage.
APS
M. Diaw a souligné qu’il est attendu de ces bas-fonds un potentiel de production en riz à raison d’1,5 à 3 tonnes de rendement sur 5.000 hectares, si les techniques de production sont améliorées.
Intervenant dans la région depuis un plus d’un an, le PASA prévoit également ''d’assurer un programme de formation et d’organisation'' des producteurs, en vue d’une bonne utilisation des ouvrages, a indiqué son coordonnateur.
‘’Les populations seront préparées à l’utilisation et à l’entretien correct de ces ouvrages. Un comité de suivi local composé des villages polarisés par ces ouvrages a été mis en place dans ce sens’’, a-t-il signalé.
Le PASA est financé à près de 25 milliards de francs CFA, grâce à un partenariat entre l’Etat du Sénégal, la Banque africaine de développement (BAD) et le Programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire (GAFSP), pour une durée de cinq ans.
Il intervient dans les régions de Kaffrine, Louga et Matam. Environ 400.000 habitants de ces régions vont bénéficier des retombées de ce projet à travers l’aménagement des bas-fonds, la mise en place de fermes et les activités d’élevage.
APS