Ces deux maladies animales constituent une menace réelle sur la productivité de l’économie pastorale et entrainent des répercussions négatives de grandes ampleurs sur les conditions de vie des communautés pastorales. L’atelier regroupe des vétérinaires de 6 pays du Sahel que sont le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. Selon le coordonnateur régional de la composante santé animale du Praps, Oumar Idriss Alfaro, il faut des réponses urgentes pour venir à bout de la peste des petits ruminants et de la péripneumonie contagieuse bovine qui sont des maladies dévastatrices au plan de la santé animale et économique pour les pays du Sahel.
Présidant l’ouverture de l’atelier, le secrétaire général du ministère de l’Elevage et des Productions animales, Mamadou Ousseynou Sakho soutient que le problème des pays du Sahel reste lié à l’état de nos services vétérinaires qui souffrent d’un sous-investissement chronique occasionnant parfois une diminution très importante de la capacité d’intervention sur le terrain. «Il faut que nous Africains, investissons beaucoup dans notre élevage car l’essentiel de notre population vit et dépend de l’élevage», dit le secrétaire général du ministère de l’Elevage et des Productions animales du Sénégal.
Tidiane Diouf
Présidant l’ouverture de l’atelier, le secrétaire général du ministère de l’Elevage et des Productions animales, Mamadou Ousseynou Sakho soutient que le problème des pays du Sahel reste lié à l’état de nos services vétérinaires qui souffrent d’un sous-investissement chronique occasionnant parfois une diminution très importante de la capacité d’intervention sur le terrain. «Il faut que nous Africains, investissons beaucoup dans notre élevage car l’essentiel de notre population vit et dépend de l’élevage», dit le secrétaire général du ministère de l’Elevage et des Productions animales du Sénégal.
Tidiane Diouf