‘’Le président de la République [Macky Sall] est en train de bâtir une agriculture de plus en plus résiliente’’, a relevé le directeur général du COSEC, Mamadou Ndione. L’agriculture sénégalaise a fait ‘’un bon extraordinaire’’, a renchéri M. Ndione, rappelant les productions record enregistrés lors de la dernière campagne agricole pour plusieurs cultures, comme l’arachide.
‘’Dans tous les segments, on est en train de relever les défis de la production’’, a salué le DG du COSEC selon qui il reste notamment à réussir le défi de la logistique.
Pour Tidiane Sidibé, directeur de cabinet du ministre délégué en charge de l’accompagnement et de la mutualisation des organisations paysannes, le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS) a ‘’même été prudent dans ses objectifs’’. Il estime que ce programme phare du président de la République, Macky Sall, aurait dû être deux fois plus ambitieux.
Tous les objectifs qu’il s’était fixés ont été ‘’atteints’’, s’est-il félicité, estimant que l’agriculture sénégalaise a ‘’fait un bond économique’’, avec sept années marquées par des records de production.
Cela étant, il affirme qu’il ne faut pas perdre de vue la nécessité d’encadrer les acteurs, dans les domaines de la production, de la transformation et de la commercialisation. Il a assuré que le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural (MAER) est en train de travailler dans ce sens avec l’Agence nationale du conseil agricole et rural (ANCAR).
Pour le député Alé Lô, une chose reste claire : le développement du Sénégal ne peut se concevoir sans le monde rural. Il a magnifié à cet égard les succès de l’agriculture sénégalaise. Pour lui, la mise en œuvre et l’exécution des différents programmes sont la bonne à suivre, d’autant que cela permettra de lutter contre l’émigration des jeunes.
Il a indiqué que l’Assemblée nationale jouera son rôle, en accompagnant le gouvernement dans la mise en place des lois et des réformes nécessaires à la bonne marche de l’agriculture, et la réduction de la fracture avec le monde rural.
Le président de ‘’Forces paysannes’’, Aliou Dia, a de son côté évoqué une ‘’agriculture résiliente caractérisée par des records à ‘’tous les niveaux’’. Comme les autres orateurs, il a indiqué qu’à partir du moment où le défi de la productivité a été ‘’réglé’’, il faut dorénavant mettre l’accent sur l’encadrement.
’Nous sommes arrivés à un certain niveau, mais la réflexion doit suivre’’, a conclu Aliou Dia.
APS
‘’Dans tous les segments, on est en train de relever les défis de la production’’, a salué le DG du COSEC selon qui il reste notamment à réussir le défi de la logistique.
Pour Tidiane Sidibé, directeur de cabinet du ministre délégué en charge de l’accompagnement et de la mutualisation des organisations paysannes, le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS) a ‘’même été prudent dans ses objectifs’’. Il estime que ce programme phare du président de la République, Macky Sall, aurait dû être deux fois plus ambitieux.
Tous les objectifs qu’il s’était fixés ont été ‘’atteints’’, s’est-il félicité, estimant que l’agriculture sénégalaise a ‘’fait un bond économique’’, avec sept années marquées par des records de production.
Cela étant, il affirme qu’il ne faut pas perdre de vue la nécessité d’encadrer les acteurs, dans les domaines de la production, de la transformation et de la commercialisation. Il a assuré que le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural (MAER) est en train de travailler dans ce sens avec l’Agence nationale du conseil agricole et rural (ANCAR).
Pour le député Alé Lô, une chose reste claire : le développement du Sénégal ne peut se concevoir sans le monde rural. Il a magnifié à cet égard les succès de l’agriculture sénégalaise. Pour lui, la mise en œuvre et l’exécution des différents programmes sont la bonne à suivre, d’autant que cela permettra de lutter contre l’émigration des jeunes.
Il a indiqué que l’Assemblée nationale jouera son rôle, en accompagnant le gouvernement dans la mise en place des lois et des réformes nécessaires à la bonne marche de l’agriculture, et la réduction de la fracture avec le monde rural.
Le président de ‘’Forces paysannes’’, Aliou Dia, a de son côté évoqué une ‘’agriculture résiliente caractérisée par des records à ‘’tous les niveaux’’. Comme les autres orateurs, il a indiqué qu’à partir du moment où le défi de la productivité a été ‘’réglé’’, il faut dorénavant mettre l’accent sur l’encadrement.
’Nous sommes arrivés à un certain niveau, mais la réflexion doit suivre’’, a conclu Aliou Dia.
APS