chroniques
Peut-on avoir un bilan d’étape du Salon AITEX ?
C’est trop tôt pour tirer un bilan, mais au vu de la première journée, c’est une réussite. Nous avons eu deux belles délégations de nos pays d’honneur : le Sénégal et la Côte-d’Ivoire. Nous avons eu plus de deux cent délégations et la présence du ministre marocain de l’Economie Numérique et nous avons eu huit cent visiteurs. Pour une première édition, nous sommes satisfaits et nous espérons que cela va s’inscrire dans la durée.
Qu’est-ce qui a présidé à l’organisation forum AITEX ?
Nous sommes dans un secteur qui évolue très vite et en même temps nous sommes dans un secteur éparpillé. Il y a plusieurs initiatives, mais il fallait rassembler tout ça. La plupart de nos pays ont élaboré des stratégies, mais elles n’ont pas été bien expliquées au public. Même si elles sont expliquées, il n’y a pas eu une évaluation régulière. Donc on s’est dit qu’il fallait un Salon africain parce qu’on ne peut plus travailler à l’échelle nationale. Cette jonction va nous permettre d’avoir un partenariat Sud-Sud.
En quoi le Numérique est un levier de Développement ?
Pour moi, le numérique c’est la solution pour nos pays africains. Vous prenez le mal de la corruption qui gangrène nos pays. Si vous mettez des procédures administratives en ligne pour le citoyen, moins il aura affaire à un homme, moins il aura affaire à la corruption. Si on éradique la corruption, c’est des points de PIB en plus pour nos pays. Je le dis souvent, les infracteurs, les ponts, c’est bien mais cela n’est pas suffisant. Il faut que les gouvernements accélèrent leur politique en matière d’infrastructure numérique.
Y a-t-il des axes de Coopération entre les autres pays africains en matière de TIC ?
Oui nous en avons avec deux pays le Sénégal et la Côte-d’Ivoire. Il y a d’ailleurs la création de commission d’économie numérique lors du dernier voyage de sa majesté le Roi du Maroc. On se réunit pour partager nos expériences. L’idée, c’est de nous inspirer des expériences des uns et des autres pour gagner du temps, dans le domaine du numérique, les choses évoluent très rapidement.
Propos recueillis par Pathé TOURE Envoyé Spécial à Casablanca
C’est trop tôt pour tirer un bilan, mais au vu de la première journée, c’est une réussite. Nous avons eu deux belles délégations de nos pays d’honneur : le Sénégal et la Côte-d’Ivoire. Nous avons eu plus de deux cent délégations et la présence du ministre marocain de l’Economie Numérique et nous avons eu huit cent visiteurs. Pour une première édition, nous sommes satisfaits et nous espérons que cela va s’inscrire dans la durée.
Qu’est-ce qui a présidé à l’organisation forum AITEX ?
Nous sommes dans un secteur qui évolue très vite et en même temps nous sommes dans un secteur éparpillé. Il y a plusieurs initiatives, mais il fallait rassembler tout ça. La plupart de nos pays ont élaboré des stratégies, mais elles n’ont pas été bien expliquées au public. Même si elles sont expliquées, il n’y a pas eu une évaluation régulière. Donc on s’est dit qu’il fallait un Salon africain parce qu’on ne peut plus travailler à l’échelle nationale. Cette jonction va nous permettre d’avoir un partenariat Sud-Sud.
En quoi le Numérique est un levier de Développement ?
Pour moi, le numérique c’est la solution pour nos pays africains. Vous prenez le mal de la corruption qui gangrène nos pays. Si vous mettez des procédures administratives en ligne pour le citoyen, moins il aura affaire à un homme, moins il aura affaire à la corruption. Si on éradique la corruption, c’est des points de PIB en plus pour nos pays. Je le dis souvent, les infracteurs, les ponts, c’est bien mais cela n’est pas suffisant. Il faut que les gouvernements accélèrent leur politique en matière d’infrastructure numérique.
Y a-t-il des axes de Coopération entre les autres pays africains en matière de TIC ?
Oui nous en avons avec deux pays le Sénégal et la Côte-d’Ivoire. Il y a d’ailleurs la création de commission d’économie numérique lors du dernier voyage de sa majesté le Roi du Maroc. On se réunit pour partager nos expériences. L’idée, c’est de nous inspirer des expériences des uns et des autres pour gagner du temps, dans le domaine du numérique, les choses évoluent très rapidement.
Propos recueillis par Pathé TOURE Envoyé Spécial à Casablanca
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