« L’accumulation de la dette sociale est inquiétante eu égard aux problèmes de prise en charge des pensions de retraite qu’elle pourrait poser dans le futur aux travailleurs » relève la DSP dans son analysant sur l’exécution budgétaire de ces EPS. Le même constat est fait, pour les dettes fiscales et « il est aisé de constater que la non sincérité des budgets est l’explication principale », déplore la DSP.
Au 31 mars 2015, l’endettement des 16 EPS du Sénégal est arrêté à 17,688 milliards FCFA avec un passif fiscal représentant 47,16% de ce montant à 8,340 milliards FCFA et une dette sociale de 5,114 milliards CFA.
En guise de recommandation, la DSP estime qu’une « revue totale des méthodes d’évaluation des budgets mettant en avant la gestion axée sur les résultats et bannissant toute surcharge de dépenses de fonctionnement s’impose ». C’est tout le sens à donner, selon toujours cette structure, à l’alinéa 2 de l’article 11 du décret du 12 novembre 2014 portant régime financier des établissements publics, des agences et autres structures administratives similaires ou assimilées et qui dispose que « le document d’orientation budgétaire est adossé, le cas échéant, à un contrat de performance. »
El Hadj Diakhaté
Au 31 mars 2015, l’endettement des 16 EPS du Sénégal est arrêté à 17,688 milliards FCFA avec un passif fiscal représentant 47,16% de ce montant à 8,340 milliards FCFA et une dette sociale de 5,114 milliards CFA.
En guise de recommandation, la DSP estime qu’une « revue totale des méthodes d’évaluation des budgets mettant en avant la gestion axée sur les résultats et bannissant toute surcharge de dépenses de fonctionnement s’impose ». C’est tout le sens à donner, selon toujours cette structure, à l’alinéa 2 de l’article 11 du décret du 12 novembre 2014 portant régime financier des établissements publics, des agences et autres structures administratives similaires ou assimilées et qui dispose que « le document d’orientation budgétaire est adossé, le cas échéant, à un contrat de performance. »
El Hadj Diakhaté