Cet événement scientifique regroupera près de 600 professionnels de santé venus du Maroc, du Maghreb, d’Afrique subsaharienne, d’Europe (Suisse, Belgique, France…) et d’Amérique du Nord (Canada).
Après Tanger en 2017, Marrakech aura les honneurs d’accueillir le gotha des les diabétologues, endocrinologues, nutritionnistes d’Afrique, mais aussi des autres partie du monde précitées. Spécialistes des pathologies para thyroïdiennes et hypophysaires, diabétologues, endocrinologues, nutritionnistes, mais aussi spécialistes des technologies connexes à la médecine se donnent rendez-vous dans la ville ocre pour échanger et réfléchir ensemble sur les moyens d’accélérer la réflexion et renforcer davantage les moyens de combattre les maladies endocronologiques, nutrives et le diabétes.
«L’urgence d’une synergie pour plus d’efficacité » face à une situation alarmante. La thématique centrale « l’endocrinologie et la diabétologie en Afrique », n’est pas fortuite.
Elle relève de l’urgence de s’insurger et s’unir pour l’efficacité face au ravage du diabète sur le continent. Face au fléau du diabète en Afrique, une mobilisation mondiale s’impose d’urgence. La maladie est responsable de près de 10 % des décès, alertent des chercheurs et médecins.
Les traitements sont trop chers pour la plupart des patients. « Les endocrinologues et diabétologues que nous sommes sont les premiers à voir les dégâts », souligne Dr. Hamdoun Lhassani, Président de la SMEDIAN qui insiste sur «l’urgence d’une synergie pour plus d’efficacité » face à une situation alarmante.
En effet, la Fédération internationale du diabète (IDF) estime aujourd’hui à plus de 415 millions le nombre de personnes vivants avec le diabète dans le monde, dont plus de 77 % dans les pays à faible et à moyen revenu, pour un coût estimé par IDF Diabetes Atlas à 673 milliards de dollars annuel.
D’ici 2040, on dénombrera 642 millions de malades, dont plus de 42 millions en Afrique. Le diabète est la cause de 5 millions de décès par an, soit une mort toutes les 6 secondes. C’est aussi la première cause de cécité, mise sous dialyse ou amputation non traumatique, alors même que les maladies non transmissibles (MNT) sont déjà responsables de 69 % des décès dans le monde. En Afrique, le diabète est responsable de près de 10 % des décès.
Pathé TOURE
Après Tanger en 2017, Marrakech aura les honneurs d’accueillir le gotha des les diabétologues, endocrinologues, nutritionnistes d’Afrique, mais aussi des autres partie du monde précitées. Spécialistes des pathologies para thyroïdiennes et hypophysaires, diabétologues, endocrinologues, nutritionnistes, mais aussi spécialistes des technologies connexes à la médecine se donnent rendez-vous dans la ville ocre pour échanger et réfléchir ensemble sur les moyens d’accélérer la réflexion et renforcer davantage les moyens de combattre les maladies endocronologiques, nutrives et le diabétes.
«L’urgence d’une synergie pour plus d’efficacité » face à une situation alarmante. La thématique centrale « l’endocrinologie et la diabétologie en Afrique », n’est pas fortuite.
Elle relève de l’urgence de s’insurger et s’unir pour l’efficacité face au ravage du diabète sur le continent. Face au fléau du diabète en Afrique, une mobilisation mondiale s’impose d’urgence. La maladie est responsable de près de 10 % des décès, alertent des chercheurs et médecins.
Les traitements sont trop chers pour la plupart des patients. « Les endocrinologues et diabétologues que nous sommes sont les premiers à voir les dégâts », souligne Dr. Hamdoun Lhassani, Président de la SMEDIAN qui insiste sur «l’urgence d’une synergie pour plus d’efficacité » face à une situation alarmante.
En effet, la Fédération internationale du diabète (IDF) estime aujourd’hui à plus de 415 millions le nombre de personnes vivants avec le diabète dans le monde, dont plus de 77 % dans les pays à faible et à moyen revenu, pour un coût estimé par IDF Diabetes Atlas à 673 milliards de dollars annuel.
D’ici 2040, on dénombrera 642 millions de malades, dont plus de 42 millions en Afrique. Le diabète est la cause de 5 millions de décès par an, soit une mort toutes les 6 secondes. C’est aussi la première cause de cécité, mise sous dialyse ou amputation non traumatique, alors même que les maladies non transmissibles (MNT) sont déjà responsables de 69 % des décès dans le monde. En Afrique, le diabète est responsable de près de 10 % des décès.
Pathé TOURE