
Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), cette progression est portée par la bonne tenue du sous-secteur de l’élevage (+6,6%). Sur un an, précise la Dpee, le primaire, hors agriculture et sylviculture, s’est consolidé de 1,1% au quatrième trimestre 2024, dans le sillage de l’élevage (+3,1%). Au total sur l’année 2024, une croissance de 3,4% du secteur est notée, attribuable essentiellement au sous-secteur de l’élevage (+4,0%).
En rythme trimestriel, renseigne la Dpee, l’activité de pêche s’est légèrement améliorée (+0,2%), au quatrième trimestre 2024, en liaison avec la bonne tenue de sa composante artisanale (+3,4%). Pour sa part, la pêche industrielle a reculé de 5,0%.
Quant au sous-secteur de l’élevage, corrigé des variations saisonnières, il s’est conforté de 6,6%, en rythme trimestriel, à la faveur d’une progression de la production contrôlée de viande d’ovins (+18,8%), de caprins (+18,2%) et de porcins (+41,8%).
Cette hausse des abattages peut être expliquée, d’une part, par l’amélioration du poids des carcasses consécutives à l’abondance du tapis herbacé à la fin de l’hivernage et, d’autre part, les fêtes de fin d’année.
Au total, la hausse de l’offre s’est traduite par une baisse de 0,3% du prix de la viande sur la période. Sur un an, le sous-secteur de l’élevage s’est consolidé de 3,1%, au quatrième trimestre 2024. Ce bon résultat est attribuable à une hausse des productions de viande bovine (+2,6%), ovine (+5,1%) et porcine (+36,0%), suite à l’accentuation de la lutte contre les abattages clandestins et à la bonne communication auprès de la population.
Adou Faye
En rythme trimestriel, renseigne la Dpee, l’activité de pêche s’est légèrement améliorée (+0,2%), au quatrième trimestre 2024, en liaison avec la bonne tenue de sa composante artisanale (+3,4%). Pour sa part, la pêche industrielle a reculé de 5,0%.
Quant au sous-secteur de l’élevage, corrigé des variations saisonnières, il s’est conforté de 6,6%, en rythme trimestriel, à la faveur d’une progression de la production contrôlée de viande d’ovins (+18,8%), de caprins (+18,2%) et de porcins (+41,8%).
Cette hausse des abattages peut être expliquée, d’une part, par l’amélioration du poids des carcasses consécutives à l’abondance du tapis herbacé à la fin de l’hivernage et, d’autre part, les fêtes de fin d’année.
Au total, la hausse de l’offre s’est traduite par une baisse de 0,3% du prix de la viande sur la période. Sur un an, le sous-secteur de l’élevage s’est consolidé de 3,1%, au quatrième trimestre 2024. Ce bon résultat est attribuable à une hausse des productions de viande bovine (+2,6%), ovine (+5,1%) et porcine (+36,0%), suite à l’accentuation de la lutte contre les abattages clandestins et à la bonne communication auprès de la population.
Adou Faye