Selon un rapport public rendu par Gemalto, on apprend que les failles de sécurité ont augmenté de 10 % par rapport au premier semestre de l’année précédente, alors que le nombre d’enregistrements de données compromis diminuait de 41 % au cours des six premiers mois. Cette nette amélioration, souligne un communiqué, peut être attribuée à la diminution du nombre de méga-failles à très grande échelle ayant touché le commerce de détail et la distribution, comparativement à la même période de l’année écoulée.
Malgré la diminution du nombre de données compromises, les failles les plus importantes ont touché des volumes considérables d’informations personnelles. L’incident le plus important constaté au cours du premier semestre Parmi les autres failles notables recensées au cours de la période d’analyse, il faut citer une attaque touchant 21 millions de fichiers de l’US Office of Personnel Management.
« Nous sommes obligés de constater le fort retour sur investissement des attaques sophistiquées que mènent les hackers, qui affectent des volumes considérables de données. Les cybercriminels continuent de s’approprier, la majeure partie du temps en toute impunité, des jeux de données extrêmement précieux», explique Jason Hart, vice-président et directeur de la technologie, en charge du pôle protection des données chez Gemalto.
Le nombre d’attaques conduites à l’instigation ou avec la bénédiction d’un État ou d’un service gouvernemental n’ont représenté que 2 % de l’ensemble des incidents enregistrés. Les intrusions malveillantes menées à titre individuel ont cependant été la principale cause des failles de données enregistrées au premier semestre 2015, représentant 546 ou 62 % des attaques informatiques, contre 465 ou 58 % au premier semestre de l’année écoulée.
Le vol d’identité demeure, au premier semestre, la principale cible des cybercriminels, représentant 75 % de tous les fichiers affectés, et un peu plus de la moitié (53 %) des failles de données enregistrées. Cinq des dix principales failles, y compris les trois premières toutes trois classées au niveau «catastrophique», ont porté sur des vols d’identité, contre sept sur dix au cours du premier semestre 2014.
Pathé TOURE
Malgré la diminution du nombre de données compromises, les failles les plus importantes ont touché des volumes considérables d’informations personnelles. L’incident le plus important constaté au cours du premier semestre Parmi les autres failles notables recensées au cours de la période d’analyse, il faut citer une attaque touchant 21 millions de fichiers de l’US Office of Personnel Management.
« Nous sommes obligés de constater le fort retour sur investissement des attaques sophistiquées que mènent les hackers, qui affectent des volumes considérables de données. Les cybercriminels continuent de s’approprier, la majeure partie du temps en toute impunité, des jeux de données extrêmement précieux», explique Jason Hart, vice-président et directeur de la technologie, en charge du pôle protection des données chez Gemalto.
Le nombre d’attaques conduites à l’instigation ou avec la bénédiction d’un État ou d’un service gouvernemental n’ont représenté que 2 % de l’ensemble des incidents enregistrés. Les intrusions malveillantes menées à titre individuel ont cependant été la principale cause des failles de données enregistrées au premier semestre 2015, représentant 546 ou 62 % des attaques informatiques, contre 465 ou 58 % au premier semestre de l’année écoulée.
Le vol d’identité demeure, au premier semestre, la principale cible des cybercriminels, représentant 75 % de tous les fichiers affectés, et un peu plus de la moitié (53 %) des failles de données enregistrées. Cinq des dix principales failles, y compris les trois premières toutes trois classées au niveau «catastrophique», ont porté sur des vols d’identité, contre sept sur dix au cours du premier semestre 2014.
Pathé TOURE