Le ministre s’exprimait lors du lancement en Afrique francophone du rapport du Fonds monétaire international (FMI) sur les perspectives économiques de l’Afrique subsaharienne.
Selon M. Bâ le dernier cadrage macroéconomique arrêté avec le FMI table sur un produit intérieur brut (PIB) de 8.150 milliards FCFA en 2015 contre 7.741 milliards FCFA en 2014. « Ces calculs ne tiennent pas compte des résultats définitifs de la campagne agricole qui seront de loin supérieurs aux prévisions », affirme le ministre. Ainsi, il estime que le PIB par habitant passerait de 554 FCFA en 2014 à 568 FCFA en 2015 alors qu’il se situait à 530 FCFA en 2011.
Le ministre soutient en outre que les conditions internes plus propices imputables notamment au démarrage de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) et de la consolidation des échanges avec le Mali, ont été profitables à l’économie nationale. « Ainsi, estime Amadou Bâ, le taux de croissance du PIB réel est ressorti à 4,7% en 2014 contre 3,6% un an auparavant, porté par l’amélioration de la production dans le sous-secteur agricole, la relance des industries de l’huile et du sucre, mais également par le dynamisme des cimenteries, des bâtiments et travaux publics (BTP), de l’énergie, des télécommunications et des services financiers ».
Au plan budgétaire, le ministre annonce des résultats encourageants avec une mobilisation accrue des recettes combinée à une gestion prudente des dépenses publiques axée autour de la rationalisation des dépenses de fonctionnement. Ce qui permet de faire passer le déficit budgétaire de 6,7% du PIB à 4,7% en 2015.
Cependant, M. Bâ demeure convaincu que la croissance seule ne suffit pas pour atteindre les objectifs de développement. C’est pourquoi le gouvernement a engagé des mesures au plan social pour réduire significativement la pauvreté qui est un phénomène multidimensionnel. Il a, à cet effet rappelé le programme national de bourse de sécurité familiale et la couverture maladie universelle.
Ndeye Maguette kebé
Selon M. Bâ le dernier cadrage macroéconomique arrêté avec le FMI table sur un produit intérieur brut (PIB) de 8.150 milliards FCFA en 2015 contre 7.741 milliards FCFA en 2014. « Ces calculs ne tiennent pas compte des résultats définitifs de la campagne agricole qui seront de loin supérieurs aux prévisions », affirme le ministre. Ainsi, il estime que le PIB par habitant passerait de 554 FCFA en 2014 à 568 FCFA en 2015 alors qu’il se situait à 530 FCFA en 2011.
Le ministre soutient en outre que les conditions internes plus propices imputables notamment au démarrage de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) et de la consolidation des échanges avec le Mali, ont été profitables à l’économie nationale. « Ainsi, estime Amadou Bâ, le taux de croissance du PIB réel est ressorti à 4,7% en 2014 contre 3,6% un an auparavant, porté par l’amélioration de la production dans le sous-secteur agricole, la relance des industries de l’huile et du sucre, mais également par le dynamisme des cimenteries, des bâtiments et travaux publics (BTP), de l’énergie, des télécommunications et des services financiers ».
Au plan budgétaire, le ministre annonce des résultats encourageants avec une mobilisation accrue des recettes combinée à une gestion prudente des dépenses publiques axée autour de la rationalisation des dépenses de fonctionnement. Ce qui permet de faire passer le déficit budgétaire de 6,7% du PIB à 4,7% en 2015.
Cependant, M. Bâ demeure convaincu que la croissance seule ne suffit pas pour atteindre les objectifs de développement. C’est pourquoi le gouvernement a engagé des mesures au plan social pour réduire significativement la pauvreté qui est un phénomène multidimensionnel. Il a, à cet effet rappelé le programme national de bourse de sécurité familiale et la couverture maladie universelle.
Ndeye Maguette kebé