Durant trois jours, les délégués composés des Ministères des finances, des affaires étrangères, de la justice et des transports, de représentants des chambres de commerce et d’industrie, des forces de défense et de sécurité(FDS) se pencheront sur le thème : « la Carte Brune CEDEAO : Quel système d’assurance Carte Brune pour accompagner le développement économique et social de la CEDEAO ».
Les participants vont axer leurs travaux autour de la gouvernance pour la carte brune, la problématique du financement du système, la modernisation des bureaux nationaux entre autres afin de trouver des approches visant à pérenniser l’institution du document.
Dans son allocution d’ouverture, Alioune Badara Ndiaye, de la direction des assurances par ailleurs représentant du ministre des finances et du budget, a indiqué que « le système de la Carte brune CEDEAO offre, d’une part, aux usagers des routes de la Communauté, une couverture automatique de règlement des sinistres occasionnés ».
D’autre part, il garantit, aux victimes des accidents de la circulation, un prompte et équitable indemnisation des dommages qui leur sont causés par les automobilistes non-résidents en visite sur leur territoire, en provenance d’autres Etats membres de la CEDEAO ».
Selon lui, en cela, ledit document constitue « un important instrument pour encourager la libre circulation des personnes et des biens ». Il est, assurément, « l’un des chainons les plus solides de la chaine de la libre circulation dans l’espace CEDEAO ».
En rappel, la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO a rendu systématique la Carte brune depuis 2016. Et cette 36 ème session de l’Assemblée générale du Conseil des Bureaux de la Carte brune CEDEAO est l’occasion de mesurer le chemin parcouru, d’en tirer les leçons et de dégager de nouvelles perspectives.
Ndeye Magatte KEBE
Les participants vont axer leurs travaux autour de la gouvernance pour la carte brune, la problématique du financement du système, la modernisation des bureaux nationaux entre autres afin de trouver des approches visant à pérenniser l’institution du document.
Dans son allocution d’ouverture, Alioune Badara Ndiaye, de la direction des assurances par ailleurs représentant du ministre des finances et du budget, a indiqué que « le système de la Carte brune CEDEAO offre, d’une part, aux usagers des routes de la Communauté, une couverture automatique de règlement des sinistres occasionnés ».
D’autre part, il garantit, aux victimes des accidents de la circulation, un prompte et équitable indemnisation des dommages qui leur sont causés par les automobilistes non-résidents en visite sur leur territoire, en provenance d’autres Etats membres de la CEDEAO ».
Selon lui, en cela, ledit document constitue « un important instrument pour encourager la libre circulation des personnes et des biens ». Il est, assurément, « l’un des chainons les plus solides de la chaine de la libre circulation dans l’espace CEDEAO ».
En rappel, la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO a rendu systématique la Carte brune depuis 2016. Et cette 36 ème session de l’Assemblée générale du Conseil des Bureaux de la Carte brune CEDEAO est l’occasion de mesurer le chemin parcouru, d’en tirer les leçons et de dégager de nouvelles perspectives.
Ndeye Magatte KEBE