A l'occasion, le gouverneur Mouhamadou Moustapha Ndao a invité les responsables de ce programme à adopter une démarche inclusive des segments de la société.
Participer à la création d'emplois en milieu rural et assurer l'autosuffisance alimentaire, ce sont là les principaux objectifs du programme des domaines agricoles communautaires.
Il s'agit, selon Jean Pierre Senghor le coordonnateur national dudit programme, de créer des pôles de compétitivité à travers le pays avec un objectif de 300000 emplois au bout des 5 prochaines années, dix domaines agricoles communautaires, voire 30 000 hectares au total sur 5 ans.
« Nous sommes aujourd'hui, à Diourbel, à l'occasion du Crd pour le démarrage du domaine de Keur Samba Kane communément appelé la vallée du Car Car ».
Sur le choix du site, Mr Senghor a soutenu qu'« il y a deux paramètres pour choisir un site. C'est l'existence de l'eau, premier intrant dans l'agriculture et l'existence de grandes superficies. 1000 hectares nous ont été attribuées...
J'ai beaucoup espoir pour ce domaine agricole parce que nous sommes dans une région agricole, une région qui est riche de ses hommes et de ses femmes ». Et de préciser : « Cette vallée de Car Car s'étend sur 9000 hectares.
Nous sommes venus sous la supervision du gouverneur pour expliquer en quoi consiste ce domaine agricole et comment il va marquer l'émergence dans cette région. Il y aura la production végétale, la production animale, la production aquacole et des unités de transformation ».
Le gouverneur de Diourbel Mouhamadou Moustapha Ndao a pour sa part suggéré au responsable du programme de travailler avec toutes les populations de Keur Samba Kane pour une meilleure appropriation du projet.
« Il faut également travailler avec le système universitaire (Isfar, Université Alioune Diop, Institut sénégalais de recherches agronomiques...
C'est une chance qu'il faut exploiter. on va créer un cadre de suivi et de partage ou de pilotage doté de moyens pour la mise œuvre du projet.
Nous demandons la contribution de tous. Nous voudrions voir aboutir tout l'espoir que nous avons dans cette expérience de maitrise de l'eau, dans cette expérience de lutte contre l'émigration et de l'exode. Il faut qu'il y ait une économie locale forte. Pour cela, nous comptons sur votre projet ».
Sud Quotidien/allafrica.com
Participer à la création d'emplois en milieu rural et assurer l'autosuffisance alimentaire, ce sont là les principaux objectifs du programme des domaines agricoles communautaires.
Il s'agit, selon Jean Pierre Senghor le coordonnateur national dudit programme, de créer des pôles de compétitivité à travers le pays avec un objectif de 300000 emplois au bout des 5 prochaines années, dix domaines agricoles communautaires, voire 30 000 hectares au total sur 5 ans.
« Nous sommes aujourd'hui, à Diourbel, à l'occasion du Crd pour le démarrage du domaine de Keur Samba Kane communément appelé la vallée du Car Car ».
Sur le choix du site, Mr Senghor a soutenu qu'« il y a deux paramètres pour choisir un site. C'est l'existence de l'eau, premier intrant dans l'agriculture et l'existence de grandes superficies. 1000 hectares nous ont été attribuées...
J'ai beaucoup espoir pour ce domaine agricole parce que nous sommes dans une région agricole, une région qui est riche de ses hommes et de ses femmes ». Et de préciser : « Cette vallée de Car Car s'étend sur 9000 hectares.
Nous sommes venus sous la supervision du gouverneur pour expliquer en quoi consiste ce domaine agricole et comment il va marquer l'émergence dans cette région. Il y aura la production végétale, la production animale, la production aquacole et des unités de transformation ».
Le gouverneur de Diourbel Mouhamadou Moustapha Ndao a pour sa part suggéré au responsable du programme de travailler avec toutes les populations de Keur Samba Kane pour une meilleure appropriation du projet.
« Il faut également travailler avec le système universitaire (Isfar, Université Alioune Diop, Institut sénégalais de recherches agronomiques...
C'est une chance qu'il faut exploiter. on va créer un cadre de suivi et de partage ou de pilotage doté de moyens pour la mise œuvre du projet.
Nous demandons la contribution de tous. Nous voudrions voir aboutir tout l'espoir que nous avons dans cette expérience de maitrise de l'eau, dans cette expérience de lutte contre l'émigration et de l'exode. Il faut qu'il y ait une économie locale forte. Pour cela, nous comptons sur votre projet ».
Sud Quotidien/allafrica.com