Selon la même source, ce résultat reflète, notamment, la hausse de la valeur des importations de produits alimentaires (+23,3 milliards) et de « machines, appareils et moteurs » (+3,1 milliards). Et Pour ce qui est des produits alimentaires, la progression de la valeur des achats à étranger est principalement imputable au riz (+22,2 milliards), au « froment et méteil » (+5,5 milliards) et aux fruits et légumes comestibles (+1,0 milliard).
Toutefois, la DPEE note que les importations de produits pétroliers ont, également, affiché une légère progression de 0,2 milliard sur la période, en liaison avec les produits pétroliers raffinés (+5,0 milliards) ; les achats à l’étranger des huiles brutes de pétrole ayant diminué (-4,8 milliards). Ainsi, en glissement annuel, les importations de biens ont augmenté de 6,7% (+18,6 milliards) au mois de novembre 2016, principalement tirées par les « machines, appareils et moteurs » (+12,7 milliards) et les produits alimentaires (+17,5 milliards). Cette orientation a été, toutefois, modérée par le recul des importations de produits pétroliers (-11,1 milliards) et de produits pharmaceutiques (-3,7 milliards).
Sur les onze premiers mois de 2016, les importations de biens sont évaluées à 2803,3 milliards contre 2802,9 milliards un an auparavant, soit une légère hausse de 0,4 milliard, imputable aux produits alimentaires (+62,6 milliards), aux « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+40,6 milliards) et aux produits pharmaceutiques (+4,6 milliards). A l’inverse, les importations de produits pétroliers et de « machines, appareils et moteurs » se sont respectivement contractées de 135,7 milliards et 6,7 milliards, ajoute la Direction de la prévision et des études économiques(DPEE).
Fatou Blondin Cissé
Toutefois, la DPEE note que les importations de produits pétroliers ont, également, affiché une légère progression de 0,2 milliard sur la période, en liaison avec les produits pétroliers raffinés (+5,0 milliards) ; les achats à l’étranger des huiles brutes de pétrole ayant diminué (-4,8 milliards). Ainsi, en glissement annuel, les importations de biens ont augmenté de 6,7% (+18,6 milliards) au mois de novembre 2016, principalement tirées par les « machines, appareils et moteurs » (+12,7 milliards) et les produits alimentaires (+17,5 milliards). Cette orientation a été, toutefois, modérée par le recul des importations de produits pétroliers (-11,1 milliards) et de produits pharmaceutiques (-3,7 milliards).
Sur les onze premiers mois de 2016, les importations de biens sont évaluées à 2803,3 milliards contre 2802,9 milliards un an auparavant, soit une légère hausse de 0,4 milliard, imputable aux produits alimentaires (+62,6 milliards), aux « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (+40,6 milliards) et aux produits pharmaceutiques (+4,6 milliards). A l’inverse, les importations de produits pétroliers et de « machines, appareils et moteurs » se sont respectivement contractées de 135,7 milliards et 6,7 milliards, ajoute la Direction de la prévision et des études économiques(DPEE).
Fatou Blondin Cissé