Macoumba Diouf, directeur de l’horticulture
L’agriculture traditionnelle était une agriculture de subsistance qu’il faut dépasser pour aller vers une agriculture d’émergence, a-t-il ajouté.
Pour cela, il faudra renforcer les capacités des producteurs, les aider à changer leurs façons de cultiver en modernisant leurs pratiques culturales avec des projets et programmes de diffusion à grande échelle des innovations technologiques a proposé M. Diouf, directeur de l’horticulture.
Il s’exprimait en marge de la seconde édition du colloque 2015 axée sur le thème « l’Agriculture biologique et le développement viable des territoires de l’Acte III de la décentralisation ».
Ndeye Maguette Kébé
Pour cela, il faudra renforcer les capacités des producteurs, les aider à changer leurs façons de cultiver en modernisant leurs pratiques culturales avec des projets et programmes de diffusion à grande échelle des innovations technologiques a proposé M. Diouf, directeur de l’horticulture.
Il s’exprimait en marge de la seconde édition du colloque 2015 axée sur le thème « l’Agriculture biologique et le développement viable des territoires de l’Acte III de la décentralisation ».
Ndeye Maguette Kébé