Concernant, la pêche artisanale, elle souligne que la performance notée est principalement portée par la hausse des débarquements dans les régions de Thiès (+32,4%) et de Fatick (+121,9%).
Dans ces zones, elle note dans sa Note de conjoncture consacrée au 2e trimestre 2022, que les bonnes conditions météorologiques, la hausse de l’effort de pêche et la reprise de captures nocturnes ont été les principaux facteurs qui expliquent le volume des prises.
Pour ce qui est de la pêche industrielle, la même source indique que la bonne tenue reflète l’augmentation des entrées de navires au niveau du port de Dakar (830 navires au deuxième trimestre de 2022 contre 741 navires au premier trimestre de 2022).
Sur un an, l’activité de pêche s’est légèrement repliée de 0,7% au deuxième trimestre de 2022, imputable essentiellement à sa composante industrielle (-11,1%). Ce recul est bien corroboré par la baisse des captures de « poulpe, seiche, sole, rouget, raie et filet de poisson plat » (- 12,6%) sur la période.
Sur le premier semestre de 2022, la contraction de 3,7% du sous-secteur est portée par la pêche industrielle (-13,8%) ; la pêche artisanale s’étant consolidée de 1,8%.
Pour sa part, le mauvais résultat de la pêche industrielle est expliqué par le repli des entrées de bateaux au niveau du port de Dakar, soit 1571 navires sur le premier semestre de 2022 contre 1978 navires sur les six premiers mois de 2021.
Bassirou MBAYE
Dans ces zones, elle note dans sa Note de conjoncture consacrée au 2e trimestre 2022, que les bonnes conditions météorologiques, la hausse de l’effort de pêche et la reprise de captures nocturnes ont été les principaux facteurs qui expliquent le volume des prises.
Pour ce qui est de la pêche industrielle, la même source indique que la bonne tenue reflète l’augmentation des entrées de navires au niveau du port de Dakar (830 navires au deuxième trimestre de 2022 contre 741 navires au premier trimestre de 2022).
Sur un an, l’activité de pêche s’est légèrement repliée de 0,7% au deuxième trimestre de 2022, imputable essentiellement à sa composante industrielle (-11,1%). Ce recul est bien corroboré par la baisse des captures de « poulpe, seiche, sole, rouget, raie et filet de poisson plat » (- 12,6%) sur la période.
Sur le premier semestre de 2022, la contraction de 3,7% du sous-secteur est portée par la pêche industrielle (-13,8%) ; la pêche artisanale s’étant consolidée de 1,8%.
Pour sa part, le mauvais résultat de la pêche industrielle est expliqué par le repli des entrées de bateaux au niveau du port de Dakar, soit 1571 navires sur le premier semestre de 2022 contre 1978 navires sur les six premiers mois de 2021.
Bassirou MBAYE