‘‘L’agriculture occupe une place importante dans le plan Sénégal émergent (PSE). C’est la raison pour laquelle, il est important à ce qu’elle ne soit plus pratiquée comme avant. En effet, il faut qu’on apprenne à faire l’agriculture avec les nouvelles initiatives technologiques, mais tout en tenant compte des changements climatiques qui ne laissent aucun secteur indifférent’’, a dit Diégo Seck.
Le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’équipement rural intervenait à l’occasion d’un atelier organisé dans le cadre du partenariat entre le Ministère de l’Agriculture et de l’Équipement Rural, à travers la plateforme CCASA, le réseau des parlementaires sur l’environnement du Sénégal (REPES) et l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR) , sur le thème : «Changements climatiques et agriculture, rôle des décideurs politiques dans un contexte de mise en œuvre du Plan Sénégal Émergent (PSE)".
‘‘Pour atteindre l’objectif des 7,8% de taux de croissance, le ministère de l’agriculture a mis entre autre en œuvre un programme de dopage de l’agriculture, avec des itinéraires technologiques adéquats, afin de faire de l’agriculture un secteur de croissance économique’’, a relevé Diego Seck.
Il a en outre listé le ‘‘programme de sécurisation de la croissance agricole’’, lequel selon lui fait partie des ‘‘éléments explicatifs de la croissance du secteur agricole’’.
‘‘Et les initiatives prises par le Sénégal sont des références dans l’espace CEDEAO (communauté économique des Etats de l’Afrique). Le Sénégal en a donné la preuve au cours de séances d’explications dans les instances sous régionales’’, a-t-il expliqué.
Il a , à propos des changements climatiques souligné le fait que ce sont les pays d’Afrique subsaharienne qui en souffrent le plus, en relevant notamment la ‘‘dépendance des agricultures de cette partie de l’Afrique à la pluviométrie’’.
‘‘Les effets des changements climatiques se traduisent entre autres par la dégradation des sols. Et La COP 21 a été un pas important vers le règlement des causes des changements climatiques’’, a rappelé le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’équipement rural.
‘‘Toutefois conscient de cette situation, le ministère de l’agriculture considère les changements climatiques comme une donnée de tous les jours’’, a-t-il ajouté, non sans réitérer l’engagement à ‘‘accompagner les agriculteurs’’ face aux ‘‘défis’’ qu’ils doivent relever dans ce contexte.
Le député Mamadou Lamine Thiam a de son coté réaffirmé le soutien du réseau des parlementaires pour la défense de l’environnement à ‘‘travailler pour un renforcement des capacités des députés’’ en matière d’environnement.
‘‘L’assemblée nationale s’ouvre aux directions des différents ministères. Et depuis sa création, notre réseau travaille sur les changements climatiques.
Idrissa Gueye
Le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’équipement rural intervenait à l’occasion d’un atelier organisé dans le cadre du partenariat entre le Ministère de l’Agriculture et de l’Équipement Rural, à travers la plateforme CCASA, le réseau des parlementaires sur l’environnement du Sénégal (REPES) et l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR) , sur le thème : «Changements climatiques et agriculture, rôle des décideurs politiques dans un contexte de mise en œuvre du Plan Sénégal Émergent (PSE)".
‘‘Pour atteindre l’objectif des 7,8% de taux de croissance, le ministère de l’agriculture a mis entre autre en œuvre un programme de dopage de l’agriculture, avec des itinéraires technologiques adéquats, afin de faire de l’agriculture un secteur de croissance économique’’, a relevé Diego Seck.
Il a en outre listé le ‘‘programme de sécurisation de la croissance agricole’’, lequel selon lui fait partie des ‘‘éléments explicatifs de la croissance du secteur agricole’’.
‘‘Et les initiatives prises par le Sénégal sont des références dans l’espace CEDEAO (communauté économique des Etats de l’Afrique). Le Sénégal en a donné la preuve au cours de séances d’explications dans les instances sous régionales’’, a-t-il expliqué.
Il a , à propos des changements climatiques souligné le fait que ce sont les pays d’Afrique subsaharienne qui en souffrent le plus, en relevant notamment la ‘‘dépendance des agricultures de cette partie de l’Afrique à la pluviométrie’’.
‘‘Les effets des changements climatiques se traduisent entre autres par la dégradation des sols. Et La COP 21 a été un pas important vers le règlement des causes des changements climatiques’’, a rappelé le secrétaire général du ministère de l’agriculture et de l’équipement rural.
‘‘Toutefois conscient de cette situation, le ministère de l’agriculture considère les changements climatiques comme une donnée de tous les jours’’, a-t-il ajouté, non sans réitérer l’engagement à ‘‘accompagner les agriculteurs’’ face aux ‘‘défis’’ qu’ils doivent relever dans ce contexte.
Le député Mamadou Lamine Thiam a de son coté réaffirmé le soutien du réseau des parlementaires pour la défense de l’environnement à ‘‘travailler pour un renforcement des capacités des députés’’ en matière d’environnement.
‘‘L’assemblée nationale s’ouvre aux directions des différents ministères. Et depuis sa création, notre réseau travaille sur les changements climatiques.
Idrissa Gueye