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"Le gouvernement saura trouver dans l'immédiat des solutions à ces préoccupations, mais également celle de promouvoir des projets qui à moyen terme permettront à notre pays de s'affranchir de la tyrannie du pétrole", a-t-elle dit lors de la passation de service avec son prédécesseur. Selon Maïmouna Ndoye Seck, cette option permettra ''d'offrir des services énergétiques de qualité et au moindre coût au bénéfice des ménages et des entreprises". Mme Seck a fait part de son "engagement" et de sa "détermination à faire de face aux défis se posent dans le secteur de l'énergie avec la participation de tous les acteurs". Le nouveau ministre de l'Energie a dit mesurer l'importance de sa mission, "dans un contexte de crises multiformes, d'instabilité et d'incertitude qui interpelle le monde entier". "Il reste que je suis optimiste, parce que convaincue que je saurai compter sur l'appui soutenu du gouvernement, des partenaires techniques et financiers, des opérateurs et de l'ensemble des personnels du secteur de l'Energie", a-t-elle révélé. Parlant de son prédécesseur Aly Ngouille Ndiaye, Maïmouna Ndoye Seck a déclaré que l'ex-ministre de l'Energie a permis à ce secteur d'accomplir "des progrès significatifs dans la voie du redressement".
"Pour le cas de l'électricité, il s'agit de développer le mix énergétique associant le charbon, le gaz naturel, l'hydroélectricité, les interconnexions et les énergies renouvelables", a-t-elle indiqué. "Le développement de l'électrification rurale constitue également un défi important à relever parce que nous nous plaisons souvent à parler des problèmes au niveau des zones rurales qui ont déjà accès à l'électricité, mais il ne faut pas oublier le fait que 50% de la population sénégalaise n'a pas encore accès à l'électricité", a signalé Mme Seck. Elle s'est félicitée de "l'état d'avancement de beaucoup de projets". "Il reste qu'au regard des préoccupations des populations, a-t-il cependant relevé, l'horizon de réalisation des projets peut paraître éloigné, notamment la date de réception de certaines centrales (...)" arrêtée en 2016-2017.
APS
"Pour le cas de l'électricité, il s'agit de développer le mix énergétique associant le charbon, le gaz naturel, l'hydroélectricité, les interconnexions et les énergies renouvelables", a-t-elle indiqué. "Le développement de l'électrification rurale constitue également un défi important à relever parce que nous nous plaisons souvent à parler des problèmes au niveau des zones rurales qui ont déjà accès à l'électricité, mais il ne faut pas oublier le fait que 50% de la population sénégalaise n'a pas encore accès à l'électricité", a signalé Mme Seck. Elle s'est félicitée de "l'état d'avancement de beaucoup de projets". "Il reste qu'au regard des préoccupations des populations, a-t-il cependant relevé, l'horizon de réalisation des projets peut paraître éloigné, notamment la date de réception de certaines centrales (...)" arrêtée en 2016-2017.
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