
M. Baïdy Agne président du Conseil national du patronat (CNP)
« Le secteur privé sénégalais, dans son ensemble n’a pas la même compréhension pour ce qui est de la nationalité », a soutenu M. Baïdy Agne le président du Conseil national du patronat (CNP). Selon lui, une entreprise sénégalaise est une société contrôlée à 51% par un Sénégalais et non une entreprise établie sur le sol sénégalais.
M. Agne réagissait à la communication de M. Mamadou Moustapha Bâ le Directeur général des finances qui estimait qu’en 2016, les entreprises sénégalaises ont une opportunité d’affaires de 1.595 milliards FCFA sur les projets du plan Sénégal émergent (PSE) qui seront mis en œuvre.
« Il faut un monitoring et de suivi de la part des opportunités d’affaires réservé au secteur privé national dans les projets du PSE », a avancé M. Mansour Kama, le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (CNES). Il estime par ailleurs avoir l’impression que l’Etat à travers la douane privilégie plus les importations que l’industrialisation contrairement à ce qui est proclamé dans le PSE. Sur un autre registre, M. Kama soutient que la croissance du PIB doit reposer sur des piliers solides.
El Hadj Diakhaté
M. Agne réagissait à la communication de M. Mamadou Moustapha Bâ le Directeur général des finances qui estimait qu’en 2016, les entreprises sénégalaises ont une opportunité d’affaires de 1.595 milliards FCFA sur les projets du plan Sénégal émergent (PSE) qui seront mis en œuvre.
« Il faut un monitoring et de suivi de la part des opportunités d’affaires réservé au secteur privé national dans les projets du PSE », a avancé M. Mansour Kama, le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (CNES). Il estime par ailleurs avoir l’impression que l’Etat à travers la douane privilégie plus les importations que l’industrialisation contrairement à ce qui est proclamé dans le PSE. Sur un autre registre, M. Kama soutient que la croissance du PIB doit reposer sur des piliers solides.
El Hadj Diakhaté