Ce rapport publié au centre de conférence de Mahtama Gandir, dans l’Etat de Gujarat en Inde indique que le taux de croissance poursuit sa tendance haussière et est projeté à 6,8% et 7,0% respectivement en 2017 et 2018.
Il est tiré principalement par le sous-secteur agricole, l’activité des industries et la relance des services. Les risques sur les perspectives de croissance tiennent majoritairement aux lenteurs dans la mise en œuvre des réformes et des chocs climatiques. A cela s’ajoute l’insécurité dans la sous-région, liée aux groupes djihadistes.
Selon les rédacteurs de ce rapport, l’entreprenariat et l’industrialisation sont perçus comme des opportunités pour la création de valeur ajoutée et d’emploi, notamment dans le secteur manufacturier et l’agroalimentaire. En outre, le rapport souligne que malgré l’existence d’une stratégie nationale et d’une politique de développement industriel, la mise en œuvre reste limitée.
En conséquence, l’entreprenariat et l’industrialisation sont encore à une étape embryonnaire. Le nombre de grandes entreprises est resté stable, passant de 79 en2009 à 80 en 2013. La part du secteur industriel moderne a connu une progression marginale, passant de 9,9% du produit intérieur brut (Pib) en 2009 à 10,3% en 2013.
Avec une proportion d’entrepreneurs individuels estimée à 59,5% en 2014 par l’enquête nationale sur les PME, l’entreprenariat est susceptible d’attirer encore plus de personnes si les conditions d’exercice des activités sont favorables. En effet, les difficultés structurelles que rencontrent les entreprises, comme l’accès au financement et les obstacles liés à l’environnement des affaires freinent les évolutions en matière d’entreprenariat.
C’est pourquoi le gouvernement du Sénégal envisage de promouvoir le développement industriel dans les régions à fort potentiel par le biais d’une politique de réalisation d’équipements et d’infrastructures d’envergure, ainsi que de création de zones économiques.
Ismaila BA, Envoyé spécial à Ahmadabad
Il est tiré principalement par le sous-secteur agricole, l’activité des industries et la relance des services. Les risques sur les perspectives de croissance tiennent majoritairement aux lenteurs dans la mise en œuvre des réformes et des chocs climatiques. A cela s’ajoute l’insécurité dans la sous-région, liée aux groupes djihadistes.
Selon les rédacteurs de ce rapport, l’entreprenariat et l’industrialisation sont perçus comme des opportunités pour la création de valeur ajoutée et d’emploi, notamment dans le secteur manufacturier et l’agroalimentaire. En outre, le rapport souligne que malgré l’existence d’une stratégie nationale et d’une politique de développement industriel, la mise en œuvre reste limitée.
En conséquence, l’entreprenariat et l’industrialisation sont encore à une étape embryonnaire. Le nombre de grandes entreprises est resté stable, passant de 79 en2009 à 80 en 2013. La part du secteur industriel moderne a connu une progression marginale, passant de 9,9% du produit intérieur brut (Pib) en 2009 à 10,3% en 2013.
Avec une proportion d’entrepreneurs individuels estimée à 59,5% en 2014 par l’enquête nationale sur les PME, l’entreprenariat est susceptible d’attirer encore plus de personnes si les conditions d’exercice des activités sont favorables. En effet, les difficultés structurelles que rencontrent les entreprises, comme l’accès au financement et les obstacles liés à l’environnement des affaires freinent les évolutions en matière d’entreprenariat.
C’est pourquoi le gouvernement du Sénégal envisage de promouvoir le développement industriel dans les régions à fort potentiel par le biais d’une politique de réalisation d’équipements et d’infrastructures d’envergure, ainsi que de création de zones économiques.
Ismaila BA, Envoyé spécial à Ahmadabad