Elle l’a exprimé lors de l’atelier que l’Association des assureurs du Sénégal (AAS) a organisé ce lundi 5 novembre à Dakar. C’était au tour du thème « Assurance et émergence économique ».
Une invite appuyée par M. Mouhamadou Moustapha Noba, président de l’AAS rappelle qui la capacité du secteur des assurances du Sénégal à jouer pleinement leur rôle dans la transformation économique du Sénégal.
Ceci dans le contexte d’un marché qui, selon lui, s’est engagé dans des chantiers d’amélioration de son image.
Mme Wane estime qu’à l’heure du Plan Sénégal Emergent (Pse), des découvertes pétrolières et gazières, l’arrivée remarquée des investisseurs étrangers, il est du devoir des acteurs des assurances de s’approprier ces référentiels économiques pour contribuer à l’atteinte des objectifs définis à l’horizon 2035.
Un ensemble de paramètres qui vont mettre la couverture des risques au cœur des priorités. Devant cet état de fait, Mme Wane pense qu’il faut rendre obligatoire l’intervention de l’assureur-conseil à travers le projet de loi sur le contenu local.
La satisfaction de leurs revendications passera par un ensemble de défis auxquels elles sont invitées à relever. Un appel du moment que le secteur a légèrement enregistré sa contribution dans le PIB avec 1,60%, comparativement à une moyenne mondiale de 6,20% et une moyenne africaine de 2,70%.
Une situation qui, selon M. Alioune Badara Ndiaye, représentant du directeur des assurances a cette rencontre, est paradoxale du moment qu’il est considéré la diversité des risques auxquels le Sénégal et l’Afrique, fait face avec des risques d’ordre sanitaire environnemental, économiques, politique…
A cela s’ajoutent le flux important d’investissements étrangers dans l’exploitation de nos ressources naturelles.
M. Ndiaye invites les acteurs des assurances à relever les défis relatifs au respect des engagements souscrits et la rapidité du paiement, arriver à repousser les limites de l’assurabilité et réduire la faiblesse du niveau d’inclusion de l’assurance, prise en compte des secteurs agricoles et informels…
Mais au préalable, ils sont invités à modifier la mauvaise image que présente le secteur.
Djibril Dieng
Une invite appuyée par M. Mouhamadou Moustapha Noba, président de l’AAS rappelle qui la capacité du secteur des assurances du Sénégal à jouer pleinement leur rôle dans la transformation économique du Sénégal.
Ceci dans le contexte d’un marché qui, selon lui, s’est engagé dans des chantiers d’amélioration de son image.
Mme Wane estime qu’à l’heure du Plan Sénégal Emergent (Pse), des découvertes pétrolières et gazières, l’arrivée remarquée des investisseurs étrangers, il est du devoir des acteurs des assurances de s’approprier ces référentiels économiques pour contribuer à l’atteinte des objectifs définis à l’horizon 2035.
Un ensemble de paramètres qui vont mettre la couverture des risques au cœur des priorités. Devant cet état de fait, Mme Wane pense qu’il faut rendre obligatoire l’intervention de l’assureur-conseil à travers le projet de loi sur le contenu local.
La satisfaction de leurs revendications passera par un ensemble de défis auxquels elles sont invitées à relever. Un appel du moment que le secteur a légèrement enregistré sa contribution dans le PIB avec 1,60%, comparativement à une moyenne mondiale de 6,20% et une moyenne africaine de 2,70%.
Une situation qui, selon M. Alioune Badara Ndiaye, représentant du directeur des assurances a cette rencontre, est paradoxale du moment qu’il est considéré la diversité des risques auxquels le Sénégal et l’Afrique, fait face avec des risques d’ordre sanitaire environnemental, économiques, politique…
A cela s’ajoutent le flux important d’investissements étrangers dans l’exploitation de nos ressources naturelles.
M. Ndiaye invites les acteurs des assurances à relever les défis relatifs au respect des engagements souscrits et la rapidité du paiement, arriver à repousser les limites de l’assurabilité et réduire la faiblesse du niveau d’inclusion de l’assurance, prise en compte des secteurs agricoles et informels…
Mais au préalable, ils sont invités à modifier la mauvaise image que présente le secteur.
Djibril Dieng