''Nous travaillons à lever les contraintes du secteur horticole qui est l'un des secteurs les plus dynamiques de notre agriculture", a-t-il dit en marge de l'ouverture de l'atelier d'élaboration du plan stratégique 2015-2020 de la Coopérative des fédérative des acteurs horticoles du Sénégal (CFAHS).
Le secteur de l'horticulture a produit en 2014 plus de 80 000 tonnes en termes d'exportation, selon M. Lô, misant sur 100.000 tonnes en 2015, un objectif pour l'atteinte duquel "l'Etat jouera son rôle d'accompagnement mais ne pourra pas tout faire".
Les problèmes de financement, d'organisation de la filière et de modernisation des méthodes culturales comptent parmi les principales contraintes auxquelles le secteur se trouve confronté, a souligné Moustapha Lô Diatta. Celles-ci sont appelées à être levées en collaboration avec le secteur privé dont "l'implication sera un avantage pour ce secteur au potentiel très élevé", a-t-il précisé.
Il a invité ceux qui doutent encore de la capacité du Sénégal à réussir le pari de l'autosuffisance alimentaire "à avoir foi en notre agriculture d'une manière générale dont tout le potentiel est loin d'être exploité".
Ibrahima Wade, directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (BOS), il pour sa part revenu sur la place accordée à l'agriculture dans le PSE. Il a réitéré l'engagement du gouvernement à apporter son appui aux organisations professionnelles pour booster les différentes filières.
M. Wade a salué les efforts notés ces dernières années dans le management de la la filière horticole dont les acteurs se sont dotés d'une coopérative qui sert d'intermédiation avec les autorités.
Durant cet atelier de trois jours, la CAFHS va élaborer un plan d'action de cinq ans (2015-2020), au terme duquel elle compte porter les exportations de 80 à 250 000 tonnes.
APS
Le secteur de l'horticulture a produit en 2014 plus de 80 000 tonnes en termes d'exportation, selon M. Lô, misant sur 100.000 tonnes en 2015, un objectif pour l'atteinte duquel "l'Etat jouera son rôle d'accompagnement mais ne pourra pas tout faire".
Les problèmes de financement, d'organisation de la filière et de modernisation des méthodes culturales comptent parmi les principales contraintes auxquelles le secteur se trouve confronté, a souligné Moustapha Lô Diatta. Celles-ci sont appelées à être levées en collaboration avec le secteur privé dont "l'implication sera un avantage pour ce secteur au potentiel très élevé", a-t-il précisé.
Il a invité ceux qui doutent encore de la capacité du Sénégal à réussir le pari de l'autosuffisance alimentaire "à avoir foi en notre agriculture d'une manière générale dont tout le potentiel est loin d'être exploité".
Ibrahima Wade, directeur général du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (BOS), il pour sa part revenu sur la place accordée à l'agriculture dans le PSE. Il a réitéré l'engagement du gouvernement à apporter son appui aux organisations professionnelles pour booster les différentes filières.
M. Wade a salué les efforts notés ces dernières années dans le management de la la filière horticole dont les acteurs se sont dotés d'une coopérative qui sert d'intermédiation avec les autorités.
Durant cet atelier de trois jours, la CAFHS va élaborer un plan d'action de cinq ans (2015-2020), au terme duquel elle compte porter les exportations de 80 à 250 000 tonnes.
APS