"Nous remarquons une très grande augmentation par rapport aux années précédentes où la production tournait autour de 20.000 à 40.000 tonnes", a déclaré Ndèye Diouf Ndiaye, conseillère technique au ministère de l'Agriculture et de l'Equipement rural.
Actuellement "nous avons une production record avec 50.000 tonnes'', ce qui fait que "nous serons autosuffisants au moins pour une période de trois mois", a-t-elle ajouté au cours de la cérémonie officielle de lancement de ma campagne de commercialisation de la pomme de terre locale.
"La filière pomme de terre existait depuis longtemps, mais il n'y a jamais eu de campagne de commercialisation", a indiqué Mme Ndiaye.
Selon Ndèye Diouf Ndiaye, le fait de réunir producteurs et commerçants pour une discussion sur les enjeux de la filière, peut "donner un nouvel élan" au secteur en donnant aux acteurs "une envie de produire plus".
"Aujourd'hui, a-t-elle souligné, les acteurs sont conscients du rôle qu'ils doivent jouer dans l'atteinte des objectifs du Programme d'accélération de la cadence de l'agriculture (PRACAS)".
Dans la même perspective, le Programme d'aménagement et de développement économique des Niayes (PADEN) envisage de construire quinze magasins de stockage pour la conservation de la production, une doléance soulevée par les producteurs, a annoncé Ndèye Diouf Ndiaye.
Le coordonnateur la filière pomme de terre, Mamadou Guèye, est de son côté revenu sur les objectifs de production fixés par l'Etat, à savoir 47.000 tonnes pour 2017.
"Au niveau de nos filières, et avec le plan d'action que nous avons mis en place, nous atteindrons 50.000 tonnes avec un rendement moyen de 25 tonnes à l'hectare", a-t-il assuré.
Néanmoins, "lorsque nous avons fait les tests de rendement au mètre carré, nous avons obtenu au lieu de 25, 30 à 40 tonnes à l'hectare", a indiqué le coordonnateur de la filière pomme de terre.
"La qualité que nous produisons est meilleure" et avec la période de gel, le marché pourra être approvisionné par la production locale jusqu'au mois de juin, a-t-il affirmé, ajoutant que les commerçants sont pour cela prêts à signer des contrats avec les producteurs.
Concernant les difficultés rencontrées par les acteurs de la filière, il a estimé que les producteurs doivent disposer de magasins de stockage pour la conservation de la "grande production", la consommation nationale étant comprise entre 5000 et 6000 tonnes.
APS
Actuellement "nous avons une production record avec 50.000 tonnes'', ce qui fait que "nous serons autosuffisants au moins pour une période de trois mois", a-t-elle ajouté au cours de la cérémonie officielle de lancement de ma campagne de commercialisation de la pomme de terre locale.
"La filière pomme de terre existait depuis longtemps, mais il n'y a jamais eu de campagne de commercialisation", a indiqué Mme Ndiaye.
Selon Ndèye Diouf Ndiaye, le fait de réunir producteurs et commerçants pour une discussion sur les enjeux de la filière, peut "donner un nouvel élan" au secteur en donnant aux acteurs "une envie de produire plus".
"Aujourd'hui, a-t-elle souligné, les acteurs sont conscients du rôle qu'ils doivent jouer dans l'atteinte des objectifs du Programme d'accélération de la cadence de l'agriculture (PRACAS)".
Dans la même perspective, le Programme d'aménagement et de développement économique des Niayes (PADEN) envisage de construire quinze magasins de stockage pour la conservation de la production, une doléance soulevée par les producteurs, a annoncé Ndèye Diouf Ndiaye.
Le coordonnateur la filière pomme de terre, Mamadou Guèye, est de son côté revenu sur les objectifs de production fixés par l'Etat, à savoir 47.000 tonnes pour 2017.
"Au niveau de nos filières, et avec le plan d'action que nous avons mis en place, nous atteindrons 50.000 tonnes avec un rendement moyen de 25 tonnes à l'hectare", a-t-il assuré.
Néanmoins, "lorsque nous avons fait les tests de rendement au mètre carré, nous avons obtenu au lieu de 25, 30 à 40 tonnes à l'hectare", a indiqué le coordonnateur de la filière pomme de terre.
"La qualité que nous produisons est meilleure" et avec la période de gel, le marché pourra être approvisionné par la production locale jusqu'au mois de juin, a-t-il affirmé, ajoutant que les commerçants sont pour cela prêts à signer des contrats avec les producteurs.
Concernant les difficultés rencontrées par les acteurs de la filière, il a estimé que les producteurs doivent disposer de magasins de stockage pour la conservation de la "grande production", la consommation nationale étant comprise entre 5000 et 6000 tonnes.
APS