La même source souligne que cette situation est imputable à la contraction des achats à l’étranger de produits alimentaires (-15,5 milliards), de produits pétroliers (-11,4 milliards), de « véhicules, matériels de transport et de pièces détachées » (- 9,6 milliards), de « machines, appareils et moteurs » (-3,5 milliards) et de produits pharmaceutiques (-1,3 milliard).
Pour sa part, ajoute la Dpee, la baisse des importations de produits pétroliers est liée au fléchissement de la valeur des achats de produits pétroliers raffinés (-11,4 milliards).
Par ailleurs, la baisse des importations de riz de riz (-7,6 milliards), d’« huiles et graisses animales végétales » (-5,0 milliards) et de « fruits et légumes comestibles » (-2,3 milliards) ont contribué significativement à la contraction de celles de produits alimentaires.
En glissement annuel, les importations de biens se sont inscrites en baisse de 21,7% (-80,3 milliards) au mois d’octobre 2020, sous l’effet du repli des achats de produits pétroliers (-11,9 milliards), de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (-11,8 milliards), de produits alimentaires (-8,2 milliards), de « machines, appareils et moteurs » (-5,8 milliards) et de produits pharmaceutiques (-3,5 milliards).
S’agissant des importations de produits alimentaires, la baisse est expliquée, essentiellement, par le repli des achats d’ « huiles, graisses animales et végétales » (-3,5 milliards), de « fruits et légumes comestibles » (-2,3 milliards), de maïs (-1,8 milliard) et de riz (-1,7 milliard). Pour ce qui est des importations de produits pétroliers, la diminution est imputable aux achats de produits pétroliers raffinés (-11,9 milliards) sur la période sous revue.
Concernant les importations de biens en provenance des pays de l’Uemoa, elles sont évaluées à 4,4 milliards au mois d’octobre 2020 contre 6,1 milliards le mois précédent. Elles ont, ainsi, représenté 1,5% de la valeur totale des importations de biens au mois d’octobre 2020 contre 1,7% un mois auparavant.
La Côte d’Ivoire demeure le principal fournisseur du Sénégal au sein de la zone, avec une part évaluée à 88,8% en octobre 2020 contre 59,9% en septembre 2020, soit un regain de 28,9 points de pourcentage. Les achats en provenance de ce pays ont principalement porté sur les « fruits et légumes comestibles », les « bois et ouvrages » et les « matières plastiques artificielles » avec des parts respectives de 20,3%, 12,1%, et 11,2%.
Au mois d’octobre 2020, le déficit commercial s’est amélioré de 57,8 milliards, en variation mensuelle, pour s’établir à 116,6 milliards. Cette situation est imputable au recul des importations de biens (-67,4 milliards) combiné à la légère baisse des exportations (-1,5 milliard), en variation mensuelle. Ainsi, le taux de couverture des importations par les exportations est estimé à 47,7% contre 39,1 % en septembre 2020, soit un renforcement de 8,6 points de pourcentage.
Adou FAYE
Pour sa part, ajoute la Dpee, la baisse des importations de produits pétroliers est liée au fléchissement de la valeur des achats de produits pétroliers raffinés (-11,4 milliards).
Par ailleurs, la baisse des importations de riz de riz (-7,6 milliards), d’« huiles et graisses animales végétales » (-5,0 milliards) et de « fruits et légumes comestibles » (-2,3 milliards) ont contribué significativement à la contraction de celles de produits alimentaires.
En glissement annuel, les importations de biens se sont inscrites en baisse de 21,7% (-80,3 milliards) au mois d’octobre 2020, sous l’effet du repli des achats de produits pétroliers (-11,9 milliards), de « véhicules, matériels de transport et pièces détachées automobiles » (-11,8 milliards), de produits alimentaires (-8,2 milliards), de « machines, appareils et moteurs » (-5,8 milliards) et de produits pharmaceutiques (-3,5 milliards).
S’agissant des importations de produits alimentaires, la baisse est expliquée, essentiellement, par le repli des achats d’ « huiles, graisses animales et végétales » (-3,5 milliards), de « fruits et légumes comestibles » (-2,3 milliards), de maïs (-1,8 milliard) et de riz (-1,7 milliard). Pour ce qui est des importations de produits pétroliers, la diminution est imputable aux achats de produits pétroliers raffinés (-11,9 milliards) sur la période sous revue.
Concernant les importations de biens en provenance des pays de l’Uemoa, elles sont évaluées à 4,4 milliards au mois d’octobre 2020 contre 6,1 milliards le mois précédent. Elles ont, ainsi, représenté 1,5% de la valeur totale des importations de biens au mois d’octobre 2020 contre 1,7% un mois auparavant.
La Côte d’Ivoire demeure le principal fournisseur du Sénégal au sein de la zone, avec une part évaluée à 88,8% en octobre 2020 contre 59,9% en septembre 2020, soit un regain de 28,9 points de pourcentage. Les achats en provenance de ce pays ont principalement porté sur les « fruits et légumes comestibles », les « bois et ouvrages » et les « matières plastiques artificielles » avec des parts respectives de 20,3%, 12,1%, et 11,2%.
Au mois d’octobre 2020, le déficit commercial s’est amélioré de 57,8 milliards, en variation mensuelle, pour s’établir à 116,6 milliards. Cette situation est imputable au recul des importations de biens (-67,4 milliards) combiné à la légère baisse des exportations (-1,5 milliard), en variation mensuelle. Ainsi, le taux de couverture des importations par les exportations est estimé à 47,7% contre 39,1 % en septembre 2020, soit un renforcement de 8,6 points de pourcentage.
Adou FAYE