Selon le rapport réalisé par l’Assemblée nationale suite aux travaux en commission, le ministre a rappelé qu’un audit a été effectué par les services de son département, en 2018. «À l’issue de cet audit, des irrégularités liées, notamment, à l’absence de paiement des redevances ont été décelées. La direction de l’hôtel a indiqué, pour sa défense, que le non-paiement des redevances était dû aux montants exorbitants de la dette que lui devait l’État du Sénégal. Ainsi, il a été révélé un solde créditeur gap de 3 milliards FCfa au profit de l’hôtel, à la suite d’une convention de dettes croisées entre l’État et l’hôtel King Fahd Palace », a expliqué M. Niang.
Dans ce même registre, il dira que de nouvelles clauses portant, notamment, sur la maintenance, l’entretien, la rénovation, le cahier de charges, ainsi que le versement de 600 millions de redevances ont été intégrées au contrat initial de concession qui a été signé, en 2010. Selon le document, il a, en outre, souligné l’existence d’un comité de gestion, logé à la Primature et composé de neuf membres, dont les représentants des ministères en charge du Tourisme et des Finances.
De surcroît, il a indiqué être en phase avec les députés sur la perte, en termes de clientèle, concernant notamment les membres de l’équipage des compagnies aériennes.
Selon lui, cette situation a été occasionnée par la mise en service de l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) qui a impacté sur les activités de l’hôtel. À ce niveau, il a précisé, d’une part, qu’aucune cession de terre n’a été faite sur le domaine foncier de l’hôtel et, d’autre part, que sa rénovation est en cours de réalisation, et le standing des chambres est aligné aux normes et qualités requises. Ce qui justifie à son avis, aujourd’hui, que cet hôtel continue à loger des chefs d’État et à abriter des rencontres d’envergure internationale.
Adou Faye
Dans ce même registre, il dira que de nouvelles clauses portant, notamment, sur la maintenance, l’entretien, la rénovation, le cahier de charges, ainsi que le versement de 600 millions de redevances ont été intégrées au contrat initial de concession qui a été signé, en 2010. Selon le document, il a, en outre, souligné l’existence d’un comité de gestion, logé à la Primature et composé de neuf membres, dont les représentants des ministères en charge du Tourisme et des Finances.
De surcroît, il a indiqué être en phase avec les députés sur la perte, en termes de clientèle, concernant notamment les membres de l’équipage des compagnies aériennes.
Selon lui, cette situation a été occasionnée par la mise en service de l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) qui a impacté sur les activités de l’hôtel. À ce niveau, il a précisé, d’une part, qu’aucune cession de terre n’a été faite sur le domaine foncier de l’hôtel et, d’autre part, que sa rénovation est en cours de réalisation, et le standing des chambres est aligné aux normes et qualités requises. Ce qui justifie à son avis, aujourd’hui, que cet hôtel continue à loger des chefs d’État et à abriter des rencontres d’envergure internationale.
Adou Faye