Je tiens d’abord à vous remercier tous, chers Collègues, pour votre présence à ce Sommet, malgré vos calendriers fort chargés et des délais de notification très cours.
Merci à vous tous et aux chefs de délégations, pour le temps et les efforts consentis. C’est toujours avec un plaisir renouvelé que nous vous recevons en terre sénégalaise, que nous partageons.
J’ai souhaité convoquer ce Sommet afin que nous puissions nous concerter sur la situation politique et sécuritaire dans notre sous-région, à la lumière des développements survenus depuis notre dernier Sommet ordinaire.
Au cours de ses quarante ans d’existence que nous fêtons cette année, et grâce aux efforts combinés de ses Etats membres, la CEDEAO poursuit sans relâche la construction d’un espace communautaire solidaire, apaisé et démocratique.
Et parallèlement à son programme d’intégration et de développement économique, l’Organisation continue de s’acquitter de sa mission en faveur de la paix, de la sécurité et de l’assistance en matière électorale.
C’est la raison d’être même des Protocoles de la CEDEAO relatifs notamment à la démocratie et à la bonne gouvernance, et au Mécanisme de prévention, de gestion et de règlement des conflits, de maintien de la paix et de la sécurité.
Il nous faut, ensemble et solidairement, préserver ce précieux héritage patiemment acquis, dans l’intérêt des générations actuelles et futures ; surtout en ces temps où notre sous-régioncontinue de faire face à des défis majeurs.
Au premier rang de ces défis se trouve le combat contre le terrorisme. Je tiens à renouveler ici toute notre solidarité à la République sœur du Nigeria et à tous les pays frères engagés dans la lutte contre BokoHaram.
Je réitère également notre ferme appui à notre frère Ibrahima Boubacar Keïta dans ses efforts inlassables de réconciliation nationale, dans le respect de l’unité et de l’intégrité territoriale du Mali.
La bonne conduite des processus électoraux reste également un enjeu important pour la préservation de la paix et de la stabilité dans notre espace communautaire.
Dans quelques semaines, et plus tard en 2016, certains de nos pays feront face à des échéances électorales, comme d’autres en ont connu avec succès il y a quelques mois.
Cette expérience électorale pluraliste témoigne de l’ancrage démocratique de notre sous-région.
Elle nous rappelle, en même temps,la responsabilité individuelle et collective qui incombe à toutes les parties prenantes d’agir pour la sauvegarde de la paix et de la stabilitéde manière à ce que nos pays poursuivent les tâches essentielles de développement économique et social.
Je souhaite que le présent Sommet nous donne l’opportunité d’échanges approfondis, utiles et constructifs dans ce sens.
Enfin, comme l’occasion se présente à nous avant le Sommet de La Valette de novembre et la COP.21 de Paris en décembre, nous pourrions également nous concerter sur les questions de migration et le changement climatique.
Je vous remercie de votre aimable attention et déclare maintenant ouverts les travaux de notre Sommet.
Merci à vous tous et aux chefs de délégations, pour le temps et les efforts consentis. C’est toujours avec un plaisir renouvelé que nous vous recevons en terre sénégalaise, que nous partageons.
J’ai souhaité convoquer ce Sommet afin que nous puissions nous concerter sur la situation politique et sécuritaire dans notre sous-région, à la lumière des développements survenus depuis notre dernier Sommet ordinaire.
Au cours de ses quarante ans d’existence que nous fêtons cette année, et grâce aux efforts combinés de ses Etats membres, la CEDEAO poursuit sans relâche la construction d’un espace communautaire solidaire, apaisé et démocratique.
Et parallèlement à son programme d’intégration et de développement économique, l’Organisation continue de s’acquitter de sa mission en faveur de la paix, de la sécurité et de l’assistance en matière électorale.
C’est la raison d’être même des Protocoles de la CEDEAO relatifs notamment à la démocratie et à la bonne gouvernance, et au Mécanisme de prévention, de gestion et de règlement des conflits, de maintien de la paix et de la sécurité.
Il nous faut, ensemble et solidairement, préserver ce précieux héritage patiemment acquis, dans l’intérêt des générations actuelles et futures ; surtout en ces temps où notre sous-régioncontinue de faire face à des défis majeurs.
Au premier rang de ces défis se trouve le combat contre le terrorisme. Je tiens à renouveler ici toute notre solidarité à la République sœur du Nigeria et à tous les pays frères engagés dans la lutte contre BokoHaram.
Je réitère également notre ferme appui à notre frère Ibrahima Boubacar Keïta dans ses efforts inlassables de réconciliation nationale, dans le respect de l’unité et de l’intégrité territoriale du Mali.
La bonne conduite des processus électoraux reste également un enjeu important pour la préservation de la paix et de la stabilité dans notre espace communautaire.
Dans quelques semaines, et plus tard en 2016, certains de nos pays feront face à des échéances électorales, comme d’autres en ont connu avec succès il y a quelques mois.
Cette expérience électorale pluraliste témoigne de l’ancrage démocratique de notre sous-région.
Elle nous rappelle, en même temps,la responsabilité individuelle et collective qui incombe à toutes les parties prenantes d’agir pour la sauvegarde de la paix et de la stabilitéde manière à ce que nos pays poursuivent les tâches essentielles de développement économique et social.
Je souhaite que le présent Sommet nous donne l’opportunité d’échanges approfondis, utiles et constructifs dans ce sens.
Enfin, comme l’occasion se présente à nous avant le Sommet de La Valette de novembre et la COP.21 de Paris en décembre, nous pourrions également nous concerter sur les questions de migration et le changement climatique.
Je vous remercie de votre aimable attention et déclare maintenant ouverts les travaux de notre Sommet.