Dans un communiqué de presse publié le 5 décembre 2024, le Ministère des Finances et du Budget dément formellement cette information infondée et dénonce vigoureusement une tentative malveillante visant à porter atteinte à l’image du pays. Il soutient que l’émission de titres publics sur le marché régional de l’Uemoa répond à des règles et procédures strictes et transparentes, que le Sénégal respecte scrupuleusement dans la mise en œuvre de sa stratégie d’endettement.
« Les interventions du Sénégal sur le marché régional des titres publics s’appuient sur un calendrier annuel prévisionnel transmis à l’Agence Umoa-Titres au mois de février 2024 . Ce calendrier qui par la suite est communiqué aux investisseurs est purement indicatif. A ce titre, toute émission doit être confirmée par l’émetteur via la transmission d’un formulaire (TIT 610), validant l’organisation d’une adjudication de bons ou obligations du Trésor. L’Agence Umoa-Titres diffuse ensuite à toutes les directions nationales de la Bceao et aux investisseurs habilités les documents officiels relatifs à l’opération, notamment l’avis d’appel d’offres, le document des termes et conditions ainsi que toutes les autres informations nécessaires. A l’issue de chaque émission, les résultats et un compte rendu détaillé sont également publiés », explique le ministère des Finances. Il ajoute que dans le calendrier indicatif communiqué en février 2024, une émission était prévue pour le 29 novembre 2024.
Cependant, souligne le ministère des Finances, en raison de la mobilisation réussie le 15 novembre 2024 d’un montant de près de 92 milliards FCFA couvrant les prévisions initiales de 25 milliards FCFA, cette émission n’a pas été finalement confirmée. Cette mobilisation significative, combinée à d’autres financements externes, soutient le ministère des Finances, a permis de renforcer la situation de trésorerie et d’annuler l’émission initialement envisagée pour le 29 novembre 2024.
Ces ajustements, soutient la même source, témoignent d’une gestion rigoureuse et optimisée des finances publiques du Sénégal. Le Ministère des Finances et du Budget appelle le public à la vigilance face à ces campagnes de désinformation et se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs et complices de ces actes susceptibles de nuire à la réputation du Sénégal et à la confiance de ses partenaires.
Adou FAYE
« Les interventions du Sénégal sur le marché régional des titres publics s’appuient sur un calendrier annuel prévisionnel transmis à l’Agence Umoa-Titres au mois de février 2024 . Ce calendrier qui par la suite est communiqué aux investisseurs est purement indicatif. A ce titre, toute émission doit être confirmée par l’émetteur via la transmission d’un formulaire (TIT 610), validant l’organisation d’une adjudication de bons ou obligations du Trésor. L’Agence Umoa-Titres diffuse ensuite à toutes les directions nationales de la Bceao et aux investisseurs habilités les documents officiels relatifs à l’opération, notamment l’avis d’appel d’offres, le document des termes et conditions ainsi que toutes les autres informations nécessaires. A l’issue de chaque émission, les résultats et un compte rendu détaillé sont également publiés », explique le ministère des Finances. Il ajoute que dans le calendrier indicatif communiqué en février 2024, une émission était prévue pour le 29 novembre 2024.
Cependant, souligne le ministère des Finances, en raison de la mobilisation réussie le 15 novembre 2024 d’un montant de près de 92 milliards FCFA couvrant les prévisions initiales de 25 milliards FCFA, cette émission n’a pas été finalement confirmée. Cette mobilisation significative, combinée à d’autres financements externes, soutient le ministère des Finances, a permis de renforcer la situation de trésorerie et d’annuler l’émission initialement envisagée pour le 29 novembre 2024.
Ces ajustements, soutient la même source, témoignent d’une gestion rigoureuse et optimisée des finances publiques du Sénégal. Le Ministère des Finances et du Budget appelle le public à la vigilance face à ces campagnes de désinformation et se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs et complices de ces actes susceptibles de nuire à la réputation du Sénégal et à la confiance de ses partenaires.
Adou FAYE