M. Mboup s’exprimait lors d’un atelier de sensibilisation des organisations de la société civile (OSC) sur le TEC CEDEAO. Il donnait les raisons qui font que la Commission de la CEDEAO a jugé utile dorénavant d’associer la société civile à la réflexion sur le TEC. Selon lui, il y a « l’indépendance de pensée de la société civile qui ne se sent pas liée par les limites imposées par les pouvoirs publics africains ». Selon toujours M. Mboup la diversité de la composition des membres de la société civile est un autre avantage comparatif. Le dernier avantage évoqué par le consultant réside dans le fait que la société civile regroupe « la crème de l’intelligentsia de toute société ».
M. Mboup estime d’autre part que l’intégration africaine n’a pas encore répondu aux attentes notamment en termes d’échanges entre pays. « Cela mérite réflexion et une recherche fondamentale innovante », avance M. Mboup. D’où, l’invite de la société civile dans cette réflexion.
L’atelier de sensibilisation des OSC entre en droite ligne des préoccupations des Etats membres de la CEDEAO, lors de la réunion en janvier 2014 des chefs des administrations douanières en Afrique de l’Ouest, de renforcer les capacités nationales pour la mise en œuvre du TEC CEDEAO. C’est ainsi qu’une feuille de route sur la sensibilisation et la formation a été développée.
El Hadj Diakhaté
M. Mboup estime d’autre part que l’intégration africaine n’a pas encore répondu aux attentes notamment en termes d’échanges entre pays. « Cela mérite réflexion et une recherche fondamentale innovante », avance M. Mboup. D’où, l’invite de la société civile dans cette réflexion.
L’atelier de sensibilisation des OSC entre en droite ligne des préoccupations des Etats membres de la CEDEAO, lors de la réunion en janvier 2014 des chefs des administrations douanières en Afrique de l’Ouest, de renforcer les capacités nationales pour la mise en œuvre du TEC CEDEAO. C’est ainsi qu’une feuille de route sur la sensibilisation et la formation a été développée.
El Hadj Diakhaté