« Sur l’échelle régionale de WARA, la notation de long terme d’ONATEL demeure BBB-, en grade d’investissement, et sa notation de court terme reste de w-4 », ont noté les responsables de WARA. Il ajoute que cette note reflète essentiellement l’expertise de la société sur son marché domestique, sa position de leader historique au Burkina Faso, ainsi que sa situation financière très saine.
Quant à la perspective attachée à ces notations, elle est toujours stable. Simultanément, sur son échelle internationale, WARA affirme la notation d’ONATEL à iB/Stable/iw-6.
« Les notations d’ONATEL restent tributaires des enjeux macroéconomiques et politiques burkinabè, ainsi que du maintien de sa rentabilité élevée et de sa pole position concurrentielle sur le marché domestique des télécoms.
WARA justifie les notations d’ONATEL et la perspective qui leur est attachée par le fait que les forces concurrentielles du secteur des services de télécommunications au Burkina Faso sont déjà très intenses et que, malgré l’arrivée d’ORANGE sur le marché, ONATEL devrait y conserver une place prépondérante. De plus, avance-t-on au niveau de WARA, le soutien opérationnel quotidien de Maroc Télécom (actionnaire majoritaire d’ONATEL), permet à la société de mettre en place des procédures efficaces, et étrennées depuis presque une décennie.
Se prononçant sur une amélioration de la notation d’ONATEL, WARA note qu’elle dépendra d’un certain nombre de facteurs. C’est le cas d’un gain significatif et durable de parts de marché dans la téléphonie mobile pour creuser l’écart avec la concurrence, la modernisation de ses infrastructures pour améliorer sensiblement la qualité du réseau ou une amélioration des délais de recouvrement des créances clients.
« Une détérioration de la notation d’ONATEL serait la conséquence selon WARA d’une détérioration significative et durable des résultats de la société par une baisse de sa part de marché et de son chiffre d’affaires si un 4ème opérateur venait à entrer sur le marché, de la matérialisation du risque social ou politique au Burkina Faso ou de l’augmentation de la pression réglementaire et fiscale, à un degré à même de ponctionner les résultats d’ONATEL de manière excessive », signalent les dirigeants de WARA.
El Hadj Diakhaté
Quant à la perspective attachée à ces notations, elle est toujours stable. Simultanément, sur son échelle internationale, WARA affirme la notation d’ONATEL à iB/Stable/iw-6.
« Les notations d’ONATEL restent tributaires des enjeux macroéconomiques et politiques burkinabè, ainsi que du maintien de sa rentabilité élevée et de sa pole position concurrentielle sur le marché domestique des télécoms.
WARA justifie les notations d’ONATEL et la perspective qui leur est attachée par le fait que les forces concurrentielles du secteur des services de télécommunications au Burkina Faso sont déjà très intenses et que, malgré l’arrivée d’ORANGE sur le marché, ONATEL devrait y conserver une place prépondérante. De plus, avance-t-on au niveau de WARA, le soutien opérationnel quotidien de Maroc Télécom (actionnaire majoritaire d’ONATEL), permet à la société de mettre en place des procédures efficaces, et étrennées depuis presque une décennie.
Se prononçant sur une amélioration de la notation d’ONATEL, WARA note qu’elle dépendra d’un certain nombre de facteurs. C’est le cas d’un gain significatif et durable de parts de marché dans la téléphonie mobile pour creuser l’écart avec la concurrence, la modernisation de ses infrastructures pour améliorer sensiblement la qualité du réseau ou une amélioration des délais de recouvrement des créances clients.
« Une détérioration de la notation d’ONATEL serait la conséquence selon WARA d’une détérioration significative et durable des résultats de la société par une baisse de sa part de marché et de son chiffre d’affaires si un 4ème opérateur venait à entrer sur le marché, de la matérialisation du risque social ou politique au Burkina Faso ou de l’augmentation de la pression réglementaire et fiscale, à un degré à même de ponctionner les résultats d’ONATEL de manière excessive », signalent les dirigeants de WARA.
El Hadj Diakhaté