Brahima Sanou, directeur du Bureau de Développement des Télécommunications de l’Union Internationale des Télécommunications (IUT).
Il ajoute que le plus grand défi aujourd’hui est de voir comment faire, pour amener tous ces nouveaux opérateurs dans l’écosystème des Tics mais également d’y intégrer d’autres secteurs.
Brahima Sanou se prononçait en marge du Forum sur le développement de la région Afrique de l’Union Internationale des Télécommunications (l’UIT).
Selon lui, Il faudra aussi amener les ministères tels que la santé, l’éducation, l’agriculture, le commerce … à utiliser les Tics. Il faut souligner que les Tics ne serviront pas pour le développement si ces derniers n’en font pas usage, a-t-il fait savoir.
M. Sanou explique que c’est à travers cette utilisation que l’Afrique fera la différence afin de permettre à ses pays de devenir compétitif au niveau mondial parce que la compétition des Tics se fait au niveau international.
Pour le directeur du bureau de développement des télécommunications, l’enjeu est de voir comment intégrer tous les acteurs de l’écosystème.
Il poursuit en ajoutant qu’il existe également, les problèmes de cyber sécurité sur lesquels les acteurs du secteur devront travailler car la nouvelle génération est numérique. Il faudra s’assurer de leur sécurité et l’IUT devra faire face à l’ensemble de ces problèmes qui sont des priorités non pas pour l’Afrique mais pour l’ensemble des pays en développement.
Ndeye Maguette Kebe
Brahima Sanou se prononçait en marge du Forum sur le développement de la région Afrique de l’Union Internationale des Télécommunications (l’UIT).
Selon lui, Il faudra aussi amener les ministères tels que la santé, l’éducation, l’agriculture, le commerce … à utiliser les Tics. Il faut souligner que les Tics ne serviront pas pour le développement si ces derniers n’en font pas usage, a-t-il fait savoir.
M. Sanou explique que c’est à travers cette utilisation que l’Afrique fera la différence afin de permettre à ses pays de devenir compétitif au niveau mondial parce que la compétition des Tics se fait au niveau international.
Pour le directeur du bureau de développement des télécommunications, l’enjeu est de voir comment intégrer tous les acteurs de l’écosystème.
Il poursuit en ajoutant qu’il existe également, les problèmes de cyber sécurité sur lesquels les acteurs du secteur devront travailler car la nouvelle génération est numérique. Il faudra s’assurer de leur sécurité et l’IUT devra faire face à l’ensemble de ces problèmes qui sont des priorités non pas pour l’Afrique mais pour l’ensemble des pays en développement.
Ndeye Maguette Kebe