
«Par l’Avis N°002-01-2024 du 22 janvier 2024, la Banque centrale avait accordé aux établissements de crédit une dérogation temporaire aux dispositions réglementaires en vigueur, en les autorisant à garder dans leurs portefeuilles, comme des créances saines, les titres de l’Etat du Niger », rappelle la Bceao.
Elle informe que cette mesure particulière visait à maintenir la stabilité financière en évitant d’impacter négativement la situation financière des établissements de crédit.
Toutefois, explique la Bceao, avec la normalisation des interventions de l’Etat du Niger sur le marché financier régional, le maintien de cette mesure temporaire exceptionnelle ne se justifie plus. «Aussi la Banque centrale a-t-elle décidé de lever cette dérogation par l’Avis n°005-04-2025 du 3 avril 2025 », annonce la Bceao.
Par conséquent, elle souligne que les titres émis par l’Etat du Niger bénéficient à nouveau du même traitement comptable et prudentiel que ceux de tous les autres Etats membres de l’Union monétaire ouest africaine (Umoa).
Adou FAYE
Elle informe que cette mesure particulière visait à maintenir la stabilité financière en évitant d’impacter négativement la situation financière des établissements de crédit.
Toutefois, explique la Bceao, avec la normalisation des interventions de l’Etat du Niger sur le marché financier régional, le maintien de cette mesure temporaire exceptionnelle ne se justifie plus. «Aussi la Banque centrale a-t-elle décidé de lever cette dérogation par l’Avis n°005-04-2025 du 3 avril 2025 », annonce la Bceao.
Par conséquent, elle souligne que les titres émis par l’Etat du Niger bénéficient à nouveau du même traitement comptable et prudentiel que ceux de tous les autres Etats membres de l’Union monétaire ouest africaine (Umoa).
Adou FAYE