Le Togo enregistrerait, selon la Bceao, un taux de croissance économique de 5,5% en 2019. La Banque centrale indique ainsi que la balance des paiements du Togo a enregistré en 2019, un excédent de 170.150 millions, contre un excédent de 17.007 millions en 2018, soit un accroissement de 153.143 millions. D’après elle, cette évolution résulte principalement des améliorations de 70.190 millions du solde du compte des transactions courantes et de 88.904 millions des flux nets au titre du compte financier, atténuées par la baisse de 5.849 millions du solde du compte de capital.
Aussi, note la même source, le solde du compte des transactions courantes s’est amélioré de 70.190 millions, en passant de -102.675 millions en 2018 à -32.485 millions en 2019, du fait de l’accroissement de 69.224 millions de l’excédent du compte du revenu secondaire. Le déficit courant, hors dons publics, rapporté au PIB s’est établi à 2,2% en 2019, contre 3,4% en 2018. A l’en croire, le compte de capital a dégagé un solde excédentaire de 169.884 millions, contre 175.733 millions l’année précédente, en baisse de 3,3%, en liaison avec le repli des dons-projets reçus par l’Administration publique au cours de l’année sous revue.
Ainsi, la Bceao confie que les échanges avec l’extérieur se sont soldés en 2019 par un excédent de financement de 137.399 millions, après un excédent de 73.058 millions enregistré l’année précédente. Et de poursuivre, le compte financier a enregistré en 2019 des entrées nettes de capitaux à hauteur de 29.873 millions, contre des sorties nettes de 59.031 millions en 2018, en ligne principalement avec l’évolution des investissements directs.
Par ailleurs, elle renseigne que les transactions extérieures se sont soldées, en 2019, par une hausse des créances nettes des institutions de dépôt sur les non-résidents de 170.150 millions, en relation avec l’augmentation de 182.165 millions des créances nettes de la Banque centrale, atténuée par le repli de 12.015 millions de celles des autres institutions de dépôt sur les non-résidents.
S’agissant de la position extérieure globale nette, la Bceao relève enfin qu’elle a enregistré un accroissement de 142.111 millions avec un solde net de -499.303 millions au titre de l’année 2019, contre -641.414 millions un an plus tôt, suite à une augmentation des avoirs plus prononcée que celle des engagements.
Bassirou MBAYE
Aussi, note la même source, le solde du compte des transactions courantes s’est amélioré de 70.190 millions, en passant de -102.675 millions en 2018 à -32.485 millions en 2019, du fait de l’accroissement de 69.224 millions de l’excédent du compte du revenu secondaire. Le déficit courant, hors dons publics, rapporté au PIB s’est établi à 2,2% en 2019, contre 3,4% en 2018. A l’en croire, le compte de capital a dégagé un solde excédentaire de 169.884 millions, contre 175.733 millions l’année précédente, en baisse de 3,3%, en liaison avec le repli des dons-projets reçus par l’Administration publique au cours de l’année sous revue.
Ainsi, la Bceao confie que les échanges avec l’extérieur se sont soldés en 2019 par un excédent de financement de 137.399 millions, après un excédent de 73.058 millions enregistré l’année précédente. Et de poursuivre, le compte financier a enregistré en 2019 des entrées nettes de capitaux à hauteur de 29.873 millions, contre des sorties nettes de 59.031 millions en 2018, en ligne principalement avec l’évolution des investissements directs.
Par ailleurs, elle renseigne que les transactions extérieures se sont soldées, en 2019, par une hausse des créances nettes des institutions de dépôt sur les non-résidents de 170.150 millions, en relation avec l’augmentation de 182.165 millions des créances nettes de la Banque centrale, atténuée par le repli de 12.015 millions de celles des autres institutions de dépôt sur les non-résidents.
S’agissant de la position extérieure globale nette, la Bceao relève enfin qu’elle a enregistré un accroissement de 142.111 millions avec un solde net de -499.303 millions au titre de l’année 2019, contre -641.414 millions un an plus tôt, suite à une augmentation des avoirs plus prononcée que celle des engagements.
Bassirou MBAYE