Dakar Mamadou Racine Sy président du syndicat patronal de l’industrie hôtelière et touristique du Sénégal (SPIHS).
Il s’exprimait lors d’une rencontre avec le nouveau ministre du tourisme et des transports aériens Abdoulaye Diouf Sarr.
« Nous souffrons et nous nous interrogeons sur notre avenir » a poursuivi M. Sy. Selon lui la plupart des réceptifs hôteliers totalise moins de 20% de taux de remplissage. « Beaucoup de professionnels sont prêts à vendre au rabais leurs réceptifs hôteliers qu’ils ont mis des années à bâtir », déplore Racine Sy.
Il a mis en garde le ministre contre des personnes de son ministère qui s’acharnent contre le secteur du tourisme et veulent instaurer une logique de confrontation.
Pour sa part M. Mamadou Sow président du syndicat des agences de voyage du Sénégal (SAVTS) estime que le tourisme est la deuxième mamelle de l‘économie sénégalaise mais il traverse d’énormes difficultés comme la question des visas qui reste entière sans compter l’érosion côtière qui affecte la station balnéaire de Saly. Il a ainsi proposé au ministre des rencontres périodiques pour solutionner ces problèmes.
D’autres professionnels du tourisme venant de l’intérieur du pays (Casamance, Sine Saloum, Tambacounda, Thiès, Saly etc) ont pris la parole. Selon eux le Sénégal n’a pas su tirer profit des difficultés de la plupart des destinations concurrentes comme les pays d’Afrique du Nord faute d’une véritable politique de promotion touristique. Ils ont également exprimé leur inquiétude à cause de l’absence de vols aériens directs entre l’Europe et la Casamance.
Un mémorandum, qui répertorie tous les problèmes du tourisme l, a été remis au ministre du tourisme et des transports aériens à l’issue de la rencontre.
La balle est maintenant du coté des autorités pour sauver un secteur aussi capital pour l’économie sénégalaise.
El Hadj Diakhaté
« Nous souffrons et nous nous interrogeons sur notre avenir » a poursuivi M. Sy. Selon lui la plupart des réceptifs hôteliers totalise moins de 20% de taux de remplissage. « Beaucoup de professionnels sont prêts à vendre au rabais leurs réceptifs hôteliers qu’ils ont mis des années à bâtir », déplore Racine Sy.
Il a mis en garde le ministre contre des personnes de son ministère qui s’acharnent contre le secteur du tourisme et veulent instaurer une logique de confrontation.
Pour sa part M. Mamadou Sow président du syndicat des agences de voyage du Sénégal (SAVTS) estime que le tourisme est la deuxième mamelle de l‘économie sénégalaise mais il traverse d’énormes difficultés comme la question des visas qui reste entière sans compter l’érosion côtière qui affecte la station balnéaire de Saly. Il a ainsi proposé au ministre des rencontres périodiques pour solutionner ces problèmes.
D’autres professionnels du tourisme venant de l’intérieur du pays (Casamance, Sine Saloum, Tambacounda, Thiès, Saly etc) ont pris la parole. Selon eux le Sénégal n’a pas su tirer profit des difficultés de la plupart des destinations concurrentes comme les pays d’Afrique du Nord faute d’une véritable politique de promotion touristique. Ils ont également exprimé leur inquiétude à cause de l’absence de vols aériens directs entre l’Europe et la Casamance.
Un mémorandum, qui répertorie tous les problèmes du tourisme l, a été remis au ministre du tourisme et des transports aériens à l’issue de la rencontre.
La balle est maintenant du coté des autorités pour sauver un secteur aussi capital pour l’économie sénégalaise.
El Hadj Diakhaté