Longue de 36 km, cette nouvelle ligne ferroviaire connectera dans un premier temps le cœur de la capitale à la ville nouvelle de Diamniadio, en pleine expansion. Quelque 113 000 passagers devraient l’emprunter chaque jour dès 2019.
«Le projet devrait libérer le potentiel de croissance de Dakar et sa région, assure Mohamed Ali Ismaël, économiste des transports au sein de la BAD, d’autant plus qu’il doit s’articuler avec les autres modes de transports existants ou à venir, comme le projet de lignes de Bus rapide transit (BRT), permettant de desservir efficacement la grande banlieue», peut-on lire dans un communiqué.
Le nouveau TER reprendra le tracé du «Petit train de banlieue», une ligne vieillissante qui n’est plus capable de répondre au la demande croissante. Outre la pose de nouvelles voies électrifiées, le projet englobe l’acquisition d’une quinzaine de rames modernes, la reconstruction de 11 gares et la rénovation des gares de Dakar et Rufisque, classées monuments historiques. Une fois le projet achevé, le trajet entre ces deux gares ne devrait prendre que 45 minutes, contre près de deux heures aujourd’hui.
«Avec ce projet, la Banque contribue à changer le visage de l’agglomération dakaroise, en incitant à adopter des modes de transports efficaces, non-polluants et accessibles au plus grand nombre. Le projet aidera à améliorer les conditions de vie des populations, mais aussi l’industrialisation, deux piliers de la stratégie de la Banque», fait valoir Amadou Oumarou, directeur du Département infrastructure, villes et développement durable au sein de la BAD.
Pathé TOURE
«Le projet devrait libérer le potentiel de croissance de Dakar et sa région, assure Mohamed Ali Ismaël, économiste des transports au sein de la BAD, d’autant plus qu’il doit s’articuler avec les autres modes de transports existants ou à venir, comme le projet de lignes de Bus rapide transit (BRT), permettant de desservir efficacement la grande banlieue», peut-on lire dans un communiqué.
Le nouveau TER reprendra le tracé du «Petit train de banlieue», une ligne vieillissante qui n’est plus capable de répondre au la demande croissante. Outre la pose de nouvelles voies électrifiées, le projet englobe l’acquisition d’une quinzaine de rames modernes, la reconstruction de 11 gares et la rénovation des gares de Dakar et Rufisque, classées monuments historiques. Une fois le projet achevé, le trajet entre ces deux gares ne devrait prendre que 45 minutes, contre près de deux heures aujourd’hui.
«Avec ce projet, la Banque contribue à changer le visage de l’agglomération dakaroise, en incitant à adopter des modes de transports efficaces, non-polluants et accessibles au plus grand nombre. Le projet aidera à améliorer les conditions de vie des populations, mais aussi l’industrialisation, deux piliers de la stratégie de la Banque», fait valoir Amadou Oumarou, directeur du Département infrastructure, villes et développement durable au sein de la BAD.
Pathé TOURE