Axian Telecom, dont le siège social est situé à l’Île Maurice, dispose de 42,9 millions d’abonnés mobiles, 11,4 millions d’utilisateurs de données et 15,2 millions d’utilisateurs de services financiers mobiles, se positionnant comme un leader de la transformation numérique en l’Afrique.
L’un des principaux objectifs du financement, explique-t-on, est de remédier aux disparités entre les genres en matière d’accès aux services financiers. Plus de 10 millions de dollars seront consacrés à l’autonomisation de 22 000 entrepreneuses à Madagascar par le biais de la plateforme Mvola d’Axian. En outre, un don de 2,5 millions de dollars permettra d’améliorer l’éducation financière et l’accès au crédit pour 34 000 entreprises appartenant à des femmes à Madagascar, en Tanzanie et au Sénégal, leur permettant ainsi de se développer et d’opérer une transition vers l’économie formelle.
Soulignant l’importance de cette initiative, le vice-président de la Banque africaine de développement pour le Secteur privé, les Infrastructures et l’Industrialisation, Solomon Quaynor, a déclaré que « cet investissement reflète l’engagement de la Banque africaine de développement à stimuler la transformation numérique de l’Afrique et à favoriser une croissance inclusive. En soutenant le plan de croissance d’Axian Telecom, nous réduisons la fracture numérique, créons des opportunités pour des millions de personnes sur le continent et favorisons l’innovation. ».
M. Quaynor a décrit le soutien de la Banque africaine de développement comme faisant partie d’un partenariat visant à accélérer les progrès, à faire progresser l’inclusion financière — en particulier pour les femmes — et à favoriser le développement durable, ajoutant : « Ensemble, nous construisons les infrastructures et les écosystèmes qui permettront à l’Afrique de prospérer à l’ère du numérique. »
« Nous sommes honorés de nous associer à une organisation qui partage notre vision de faire progresser l’économie numérique de l’Afrique, a salué le Pdg d’Axian Telecom, Hassan Jaber. Ce financement de la Banque africaine de développement souligne non seulement l’immense potentiel numérique du continent, mais aussi le rôle essentiel de la collaboration pour stimuler le développement durable. ».
M. Jaber a souligné que le soutien de la Banque africaine de développement s’appuiera sur les initiatives en cours de l’entreprise, telles que l’élargissement de l’accès abordable à l’internet et la promotion de solutions innovantes pour combler la fracture numérique, tout en s’alignant parfaitement sur la récente transformation des activités mobiles sous la marque Yas.
« Yas représente notre engagement à autonomiser une population jeune, dynamique et connectée numériquement, en saisissant chaque opportunité avec un « Oui » retentissant. Ensemble, cette collaboration contribuera à susciter des changements significatifs dans le paysage numérique de l’Afrique, faisant progresser notre mission commune d’inclusion numérique et financière », a-t-il ajouté. Ce partenariat s’aligne sur deux des cinq priorités de développement de la Banque africaine de développement, les « High-5 », en particulier, « Industrialiser l’Afrique » et « Intégrer l’Afrique », qui améliorent la connectivité, favorisent les services numériques transfrontaliers et soutiennent l’inclusion financière.
Adou Faye
L’un des principaux objectifs du financement, explique-t-on, est de remédier aux disparités entre les genres en matière d’accès aux services financiers. Plus de 10 millions de dollars seront consacrés à l’autonomisation de 22 000 entrepreneuses à Madagascar par le biais de la plateforme Mvola d’Axian. En outre, un don de 2,5 millions de dollars permettra d’améliorer l’éducation financière et l’accès au crédit pour 34 000 entreprises appartenant à des femmes à Madagascar, en Tanzanie et au Sénégal, leur permettant ainsi de se développer et d’opérer une transition vers l’économie formelle.
Soulignant l’importance de cette initiative, le vice-président de la Banque africaine de développement pour le Secteur privé, les Infrastructures et l’Industrialisation, Solomon Quaynor, a déclaré que « cet investissement reflète l’engagement de la Banque africaine de développement à stimuler la transformation numérique de l’Afrique et à favoriser une croissance inclusive. En soutenant le plan de croissance d’Axian Telecom, nous réduisons la fracture numérique, créons des opportunités pour des millions de personnes sur le continent et favorisons l’innovation. ».
M. Quaynor a décrit le soutien de la Banque africaine de développement comme faisant partie d’un partenariat visant à accélérer les progrès, à faire progresser l’inclusion financière — en particulier pour les femmes — et à favoriser le développement durable, ajoutant : « Ensemble, nous construisons les infrastructures et les écosystèmes qui permettront à l’Afrique de prospérer à l’ère du numérique. »
« Nous sommes honorés de nous associer à une organisation qui partage notre vision de faire progresser l’économie numérique de l’Afrique, a salué le Pdg d’Axian Telecom, Hassan Jaber. Ce financement de la Banque africaine de développement souligne non seulement l’immense potentiel numérique du continent, mais aussi le rôle essentiel de la collaboration pour stimuler le développement durable. ».
M. Jaber a souligné que le soutien de la Banque africaine de développement s’appuiera sur les initiatives en cours de l’entreprise, telles que l’élargissement de l’accès abordable à l’internet et la promotion de solutions innovantes pour combler la fracture numérique, tout en s’alignant parfaitement sur la récente transformation des activités mobiles sous la marque Yas.
« Yas représente notre engagement à autonomiser une population jeune, dynamique et connectée numériquement, en saisissant chaque opportunité avec un « Oui » retentissant. Ensemble, cette collaboration contribuera à susciter des changements significatifs dans le paysage numérique de l’Afrique, faisant progresser notre mission commune d’inclusion numérique et financière », a-t-il ajouté. Ce partenariat s’aligne sur deux des cinq priorités de développement de la Banque africaine de développement, les « High-5 », en particulier, « Industrialiser l’Afrique » et « Intégrer l’Afrique », qui améliorent la connectivité, favorisent les services numériques transfrontaliers et soutiennent l’inclusion financière.
Adou Faye