‘’Le secteur des transports constitue un élément fondamental du développement du commerce extérieur (importations et exportations)’’, souligne le rapport remis à la presse lors de l’atelier organisé par le ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement. Le document explique que l’évolution constatée au niveau du commerce extérieur sénégalais confirme le déficit structurel noté sur la balance commerciale des pays en développement, marquée par une supériorité des importations par rapport aux exportations.
En 2011, les échanges du Sénégal avec les pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la Mauritanie ‘’représenterait’’ 74 % des exportations totales du pays en volume (13 % en valeur) et 17 % des importations totales en volume (20% en valeur). ‘’A l’import ou à l’export, le transit apparaîtrait plutôt comme marginal, moins de 1% du commerce total du Sénégal, avec la CEDEAO et la Mauritanie’’, souligne le document. Il estime que ce pourcentage est insignifiant par rapport à l’importance des expéditions ou arrivées de produits vers ou en provenance du Mali.
Cette marginalisation du transit, explique le document, est incompréhensible et les acteurs semblent ne pas pouvoir statuer sur les raisons qui expliquent les décalages entre les sources de données d’import-export et la faiblesse du transit international. Les transports constituent un secteur important dans le processus de développement économique et social en général et dans le soutien aux activités productives en particulier. D’où les efforts des pouvoirs publics pour accompagner le secteur.
Cependant, le rapport relève que la volonté politique des autorités n’a pas permis de réaliser les investissements nécessaires pour faire face à la demande d’infrastructures et de services de transport. ‘’Les conséquences sont entre autres une inadéquation croissante entre l’offre d’infrastructures et de services de transport et les besoins exprimés par les populations et les opérateurs économiques, un ralentissement de la poursuite des efforts d’intégration des régions rurales et les populations au développement économique et social’’, indique le texte.
Il relève des contraintes liées à l’obsolescence de la majeure partie des infrastructures de transport, un cadre institutionnel inadéquat, des coûts de construction élevés et une insuffisance du système de financement, etc. Pour pallier ce problème, le Sénégal a engagé une série d’initiatives en entamant, à partir de 1990, trois lettres de politiques sectorielle des transports (dont la dernière est programmée de 2010 à 2015) et la mise en œuvre de plusieurs réformes des organismes chargés de la gestion des transports.
APS
En 2011, les échanges du Sénégal avec les pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la Mauritanie ‘’représenterait’’ 74 % des exportations totales du pays en volume (13 % en valeur) et 17 % des importations totales en volume (20% en valeur). ‘’A l’import ou à l’export, le transit apparaîtrait plutôt comme marginal, moins de 1% du commerce total du Sénégal, avec la CEDEAO et la Mauritanie’’, souligne le document. Il estime que ce pourcentage est insignifiant par rapport à l’importance des expéditions ou arrivées de produits vers ou en provenance du Mali.
Cette marginalisation du transit, explique le document, est incompréhensible et les acteurs semblent ne pas pouvoir statuer sur les raisons qui expliquent les décalages entre les sources de données d’import-export et la faiblesse du transit international. Les transports constituent un secteur important dans le processus de développement économique et social en général et dans le soutien aux activités productives en particulier. D’où les efforts des pouvoirs publics pour accompagner le secteur.
Cependant, le rapport relève que la volonté politique des autorités n’a pas permis de réaliser les investissements nécessaires pour faire face à la demande d’infrastructures et de services de transport. ‘’Les conséquences sont entre autres une inadéquation croissante entre l’offre d’infrastructures et de services de transport et les besoins exprimés par les populations et les opérateurs économiques, un ralentissement de la poursuite des efforts d’intégration des régions rurales et les populations au développement économique et social’’, indique le texte.
Il relève des contraintes liées à l’obsolescence de la majeure partie des infrastructures de transport, un cadre institutionnel inadéquat, des coûts de construction élevés et une insuffisance du système de financement, etc. Pour pallier ce problème, le Sénégal a engagé une série d’initiatives en entamant, à partir de 1990, trois lettres de politiques sectorielle des transports (dont la dernière est programmée de 2010 à 2015) et la mise en œuvre de plusieurs réformes des organismes chargés de la gestion des transports.
APS