Selon le Rapport du Comité Politique Monétaire, le ralentissement du rythme de croissance enregistré d'un trimestre à l'autre est imputable aux secteurs tertiaire et primaire, dont les contributions à la croissance du PIB trimestriel ont baissé de 0,2 point et 0,1 point de pourcentage respectivement à 3,5 points et 1,5 point de pourcentage. La contribution du secteur secondaire à la croissance est restée stable à 2,2 points de pourcentage.
Au niveau du secteur primaire, ajoute la même source, la valeur ajoutée brute s'est accrue, en termes réels, de 5,7% en glissement annuel au deuxième trimestre 2016, après 6,4% un trimestre plus tôt. La progression de la valeur ajoutée du secteur primaire est soutenue par la bonne orientation de la production des cultures vivrières et de rente.
Pathé TOURE
Au niveau du secteur primaire, ajoute la même source, la valeur ajoutée brute s'est accrue, en termes réels, de 5,7% en glissement annuel au deuxième trimestre 2016, après 6,4% un trimestre plus tôt. La progression de la valeur ajoutée du secteur primaire est soutenue par la bonne orientation de la production des cultures vivrières et de rente.
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